Il paraît que l’islam n’a jamais forcé personne à se soumettre à la douceur de sa loi, bien plus douce encore que les lois nazies et bolcheviques, les moutons sont venus spontanément vers lui pour goûter aux joies de ses abattoirs où l’on égorge sans douleur.
Selon ses laudateurs, il ne s’est jamais propagé en laissant derrière lui des champs de ruines et des rivières de sang. Comme si les meurtres des premiers Califes, des petits-fils et de la fille de leur prophète autoproclamé ne se suffisaient pas à eux-mêmes pour témoigner de la nature violente et sanguinaire de cette idéologie barbare, hégémonique et impérialiste. Comme si en outre, les 270 millions de victimes n’étaient pas son œuvre, depuis son enfantement dans le sang des juifs, des chrétiens et des polythéistes ou encore dans les guerres fratricides entre les compagnons de Mahomet pour sa succession, qui avaient coûté la vie à sa propre fille et à ses deux petits-fils.
En dépit de son lourd passé et de son présent cauchemardesque et terrifiant, les musulmans et leurs idiots utiles continuent à le draper dans la vertu. Leur mauvaise foi est symptomatique de leur état de cécité mentale en cherchant à faire croire que l’islam est innocent de tous les maux dont on l’accuse malgré la réalité des faits qui l’accablent et qui devraient justifier son bannissement de la surface de la terre.
Pour eux, l’islam est injustement décrié et calomnié. La force de l’affabulateur est d’accuser autrui de ce qu’il est lui-même. Et nul doute que les musulmans mériteraient le calice de la pisse de chameau des faux-culs.
L’islam ou rien. Et aux siens de caresser aimablement le cou à qui reste dans la voie de la mécréance ou envisage de le renier s’il est estampillé musulman, avec des perspectives pour le moins pas très réjouissantes. Des châtiments qui font froid dans le dos et une double peine : sur terre, être réduit au statut de dhimmi ou passer sous les fourches caudines du traitement coranique prévu dans le cas d’espèce, avant de servir de combustible pour le bûcher d’Allah. Si jamais le jugement dernier existe, il y a fort à parier que c’est Mahomet et les siens qui devraient cramer en enfer.
Plus pervers que leur fameux verset « nulle contrainte en religion » tu meurs, lui qui est, de surcroît mecquois, autrement dit annulé par les versets médinois qui ne sont pas une ode à la paix et à la tolérance d’une part, et d’autre part, ce verset s’inscrit dans un processus propagandiste. Mahomet n’était pas en position de force pour dévoiler ses intentions belliqueuses et la nature haineuse et mortifère de son message. Il se devait d’être rassurant pour endormir la vigilance du public en flattant en même temps ses bas instincts en lui promettant, dans une très hypothétique vie dans l’au-delà, ce qu’il s’offre lui-même sur terre. Le message de Mahomet serait : ne faites pas ce que je fais car vous aurez la joie de le savourer pour l’éternité après votre mort.
Salem Ben Ammar