Mardi 24 février, Rania El-Alloul devait comparaître au tribunal pour récupérer son véhicule saisi par la Société de l’assurance automobile du Québec parce que son fils l’avait conduit en dépit de la suspension de son permis.
Mais voilà que la juge Éliana Marengo a refusé d’entendre son témoignage, à moins qu’elle ne retire son hijab, ce que Mme El-Alloul n’a pas voulu faire, alléguant que ce foulard faisait partie de son identité.
Voici donc que cette immigrante d’origine koweïtienne, mère monoparentale de trois enfants, arrivée au Canada en 2003 et devenue citoyenne canadienne depuis 2007 devient la figure emblématique des femmes musulmanes vivant au Canada qui veulent avoir le «droit» de se soumettre à cette pratique moyenâgeuse de port du hijab qui les distingue comme musulmanes même dans un environnement supposément neutre comme un tribunal.
Mme El-Alloul a décidé de porter plainte au Conseil de la Magistrature pour défendre son «droit» de se couvrir la tête.
Elle n’a pas fait une seule journée de travail de sa vie
Voilà donc une femme musulmane qui décide de s’installer en pays mécréant pour y élever ses trois enfants aux frais des contribuables mécréants car elle vit sur l’aide sociale (et les allocations familiales) n’ayant pas fait une seule journée de travail de sa vie.
La juge mécréante l’a donc «humiliée» en lui enjoignant d’enlever son hijab, vêtement jugé inapproprié dans son tribunal. L’indépendance des juges est telle qu’en fait, la Juge Marengo était parfaitement dans son droit en exigeant que Mme El-Alloul retire son foulard islamique.
Une collecte de fonds a été organisée par des sympathisants canadiens de Mme El-Alloul, tant et si bien qu’une somme de 50 000 $ [canadiens] a été ramassée pour lui payer une nouvelle voiture.
Mais comme la dame vit des chèques de l’aide sociale, elle a préféré renoncer à cet argent car elle sait très bien qu’il serait compté comme un revenu et soustrait de ses prestations.
Évidemment les deux nigauds Trudeau et Mulcair ont critiqué la décision de la juge Marengo qu’ils considèrent comme une personne intolérante, islamophobe, voire raciste!
Le fait que Mme El-Alloul qui vit depuis 12 ans au Québec n’ait même pas pris la peine d’apprendre le français en dit long sur le respect qu’elle porte aux Québécois mécréants …
Je ne veux pas m’acharner sur une pauvre immigrante (le Bien Être Social ce n’est pas la richesse), mais je me demande comment et pourquoi une Koweïtienne ne parlant pas un mot de français et qui semble avoir été larguée par le père de ses enfants, a été acceptée comme immigrante au Québec alors que, visiblement, elle n’est pas qualifiée pour se trouver un emploi (puisqu’on lui accorde l’aide sociale) et refuse de s’intégrer à la société québécoise?
Et c’est cette femme qui défie la juge Marengo?
On aura tout vu.