Les discussions son toujours d'actualité sur les réseaux sociaux qu'il y est eu un deuxième tireur avec Alexandre Bissonnette sur les lieux de la mosquée.
La fusillade dans une mosquée du Québec reste une étrange histoire dont les médias veulent plus en parler, sauf de parler des accommodement .
Dès que la fusillade est annoncée, politiciens, journalistes et autres “experts” convoqués sur les plateaux de télévision pointent du doigt “l’extrême droite” qui viendrait de commettre un attentat “islamophobe”.
Pourtant, presque au même moment, les médias livraient des témoignages évoquant deux tireurs ayant fait feu au cri de Allah Akbar. Les médias annonçaient ensuite l’arrestation de deux individus dont l’un était d’origine marocaine.
Sauf que vous êtes maintenant priés de croire que les médias sont aux mains d’incapables, que leurs témoins sont des menteurs.
Car désormais, il n’y a plus qu’une version officielle. Les cris “Allah Akbar” ? Ont disparus du dossier. Les témoins de ces cris ? Ont disparus également. Et de deux tireurs, on passe à un seul qui offre tous les avantages : il est blanc, s’appelle Alexandre Bissonnette, et affichait sur les réseaux sociaux ses sympathies pour Donald Trump et Marine Le Pen. Combien de comptes FaceBook ou Twitter ont ce genre de partagent ? Des millions.
Le collectif Bienvenue aux réfugiés – Ville de Québec peut écrire sur Facebook : “C’est avec douleur et colère que nous apprenons l’identité du terroriste Alexandre Bissonnette, malheureusement connu de plusieurs militants à Québec pour ses prises de positions identitaires, pro-Le Pen et anti-féministes à l’université Laval et sur les réseaux sociaux”.
Et tant pis si les voisins et amis d’Alexandre Bissonnette décrivent pourtant un gars tranquille, pas du tout violent, qui aimait parler de politique, mais n’a jamais eu de propos déplacés ni n’a jamais manifesté d’admiration pour des politiciens extrémistes.
Quant à l’autre prévenu, d’origine marocaine, interpellé aux abords de la mosquée, il a été relâché, mais disparu dans l'ombre.
“Rien ne laisse croire qu’il y aurait d’autres suspects», clame Christine Coulombe, porte-parole de la Sûreté du Québec.
Dormez en paix, braves gens, ce n’était qu’un attentat de “l’extrême droite” qui tombe fort opportunément.
La question qui revient toujours, pourquoi les preuves vidéos sont-elles cachées et pourquoi un témoin qui était à l'intérieur de la mosquée au moment du drame, affirme qu'il y avait deux tireurs, pourtant son témoignage semble être assez crédible alors qu'il donne une entrevue téléphonique à Radio-Canada.