Ces très facile de dire , hey mon entreprise médiatique fonctionne, c’est surtout facile quand on ne débourse pas un criss de sous noir! Pis que c’est les contribuables qui payent pour avoir des médias fédéralistes, qui font de la propagande à longueur d’année sur les indépendantistes.
Connaissant un peu Martin Cauchon d’un syndicaliste ami qui travail au ..., déjà à l’époque, à ses débuts comme propriétaire d'entreprises médiatique, celui-ci me disait lors d’un soupé qu’il avait été surpris par sa rencontre avec Cauchon, parce que celui-ci disait qu’il devait couper les salaires parce qu’il devait mettre du beurre sur sa table.
Dernièrement, Martin Cauchon s’est vu octroyer un beau montant d’argent, 10 000 000 de dollars que le gouvernement Couillard lui a donné, de nos poches pour l’aider avec son entreprise.
Si Cauchon veut encore avoir une subvention, il ne faut pas être aveugle pour comprendre que ça ne fonctionne pas!
De plus, avec le 10 000 000 qu’a-t-il réalisé, rien aucune garantie, c’est de l’argent qui a été jeté par la fenêtre.
Quand l’on entend, un chum c’est un chum, la signification s’applique parfaitement à Martin Cauchon. N’oubliez pas une chose, celui-ci a été ministre libéral, Desmarais n’a pas décidé de céder ses bébés à n’importe qui! Bref un chum c’est un chum.
La Presse dirigée par la famille Desmarais avant d’être reconvertie en OBNL. La famille Desmarais du Québec inc., qui contrôle a peu près tous au Québec! Décider de se départir d’un média qui a toujours participé à détruire le mouvement indépendantiste (La Presse), crache depuis sur le drapeau du Québec.
Paul Desmarais dit: je ne vous laisserais pas dans merde,, je vais vous laisser un pti 50 000 000 $ (millions) , là ce n’est pas rien, 50 000 000! quand j'entends cette phrase, la Presse volera bientôt de ses propres ailes. Non! La Presse volera de ses propres ailes, grâce à vous, vous contribuables.
Quand ça ne fonctionne pas, on cherche des coupables, par exemple Google, La Presse 9 mai 2018 : aujourd’hui, Google et Facebook accaparent 80 % des revenus publicitaires numériques au pays. Cette situation a fragilisé le modèle traditionnel des médias écrits, même si les lecteurs sont au rendez-vous.
Pour ce qui est de Google je me garderais une petite gêne, car que ce soit La Presse, Le Soleil, La Tribune, Le Droit, Le Nouvelliste, Le Quautidien, tous profitent de programme Adsense de Google, tous reçoivent de l'argent des publicités de Google.
La Presse n'a jamais été rentable et la preuve, c'est devenu un OBNL.