« Ni porno ni prostitution » : les extrémistes islamiques ont mis en place des zones contrôlées par la charia dans des villes britanniques.
En Grande-Bretagne, lorsqu des islamistes revendiquent leurs propres zones et la sharia. Des troupes islamiques ont posé des affiches dans la Tower Hamlets ou il était écrit Zone Controlée par la charia. Un peu partout en Europe, ces affiches ont été placardées dans certains secteurs urbains à forte concentration musulmane.
Les messages jaune vif collés sur des arrêts de bus et des lampadaires ont déjà été vus dans certains arrondissements de Londres ordonnant que dans la «zone contrôlée» il ne doit y avoir «ni jeux d’argent», «ni musique ni concerts», «ni porno ni prostitution», «ni drogues, ni tabac » et «pas d’alcool».
Les médias veulent ignorer et que les autorités complaisantes refusent de combattre de peur de déclencher des émeutes. Mais que se passe-t-il derrière ces affiches?
Toutes les publicités jugées offensantes pour les musulmans sont systématiquement vandalisées ou recouvertes de spray noir... La plupart de ces « zones interdites » fonctionnent comme des micro-états gouvernés par la charia. Les autorités des pays d’accueil ont, en effet, perdu le contrôle de ces quartiers et dans plusieurs cas, les services publics n’ont plus accès, tels que la police, les pompiers et les ambulances.
Le journaliste Erick Stajekelbeck livre sur CBN News, un reportage édifiant sur les zones britanniques dominées par la charia. Pour résumer, il y aurait 85 tribunaux islamiques en Angleterre. Ils ont fleuri dans les villes anglaises à forte population musulmane à Birmingham, Bradford, Manchester, Londres...
Les musulmanes y sont victimes de discrimination, leur témoignage ayant moitié moins de valeur que celui d'un musulman. Elles sont menacées par les intégristes dès qu'elles ne portent pas le voile et des homosexuels ont été battus dans les rues.
"Depuis 2008, 5 tribunaux islamiques rendent des décisions sanctionnées par la High Court – l’équivalent du Conseil d’Etat en Grande Bretagne. Ces cours de justice islamiques sont chapeautées par le Hijaz College Islamic University à Nuneaton (à l’est de Londres), siège du Tribunal arbitral musulman (Muslim Arbitration Tribunal (MAT)), dirigé par Faisal Aqtab Siddiqi, un juriste d’origine somalienne.
Cette accréditation a été rendue possible par l’Alternative Dispute Resolution (ADR) issu des récentes réformes du système juridique britannique, traitant des sujets commerciaux, civils et matrimoniaux ainsi que des cas de violences domestiques et autres différends de voisinage.
La fréquence des attaques à l'acide à Londres a transformé certaines parties de la capitale britannique en «zones interdites», a déclaré un ancien ministre du Travail.
Les chiffres montrent que le nombre d'attaques à l'acide en Grande-Bretagne a augmenté de plus de 500% entre 2012 et 2016, Il n'y avait que 73 attaques enregistrées en 2012, mais 469 en 2016. «Le Royaume-Uni a maintenant l'un des taux les plus élevés d'attaques enregistrées de substances acides et corrosives par habitant au monde et ce nombre semble augmenter», a reconnu le chef adjoint Constable Rachel Kearton, chef du Conseil de la police nationale (NPCC), responsable des attaques à l'acide.