Fatima Ahmad 22 ans a commencé à porter le niqab vers 21 ans et sa vie a changé radicalement lorsque le gouvernement du Québec a adopté le projet de loi 62, une loi interdisant à quiconque de donner ou de recevoir des services publics si son visage est couvert.
Fatima semblait drôlement engagé à l'époque de la loi 62 Projet de loi n°62 : Loi favorisant le respect de la neutralité religieuse de l’État et visant notamment à encadrer les demandes d’accommodements pour un motif religieux dans certains organismes ) drôlement engager comme militante aussi contre la loi 21, mais ce qui est quand même suspect, cette attaque! , parce qu’ici j'utilise ma liberté d'expression, mon droit au Canada, puis-je suggérer, que je pense que cette personne utilise tous les moyens pour faire obstruction à la loi 21, même le mensonge.
Ayant fait un documentaire en 2018 pour la chaine de médias CBC, sur la fameuse loi 62, elle rebondit cette fois avec un crime qu'on aurait commis à son endroit, elle aurait été encore victime de racisme, quelqu'un aurait essayé de lui retirer son niqab avant d'entrer dans le métro Charlevoix.
En 2017 elle disait à l'époque s'inquiéter à consulter un médecin et éventuellement à enseigner au Québec, si la loi 62 est respectée. Le 7 novembre 2017, elle fait l'objet d'un article dans Montréal-gazette et elle affirme dans affidavit, que les remarques islamophobes qui lui ont été lancées dans la rue se sont multipliées au cours des trois semaines qui ont suivi l’adoption du projet de loi.
Le 27 septembre 2018, dans un article de CBC, elle disait "Vivant au Québec et au Canada, je pensais que la plupart des gens étaient ouverts, qu'ils voulaient la liberté de choix et la liberté de religion" comme d’autres minorités religieuses au Québec, Ahmad a connu des moments d’anxiété au cours des dernières années.
- Alors que le CAQ promet d’aller plus loin, Ahmad pèse ses options avant l’obtention de son diplôme en 2020.
- Elle admet toutefois qu'elle pourrait ne pas être capable d'enseigner dans sa province natale. Je pense qu'il serait très difficile de le faire si ce projet de loi était adopté", a-t-elle déclaré.
- Cela me limiterait aux écoles privées musulmanes.
- Je devrai probablement quitter le Québec pour trouver du travail.
- trop peur de prendre le bus et le métro depuis que le projet de loi 62.
Le 22, 23, 24 et 25 octobre 2017, The Globe and Mail, Thestar, La Gazette, L'actualité, La Presse et Le Soleil, La Tribune, Le Devoir et même la revue Châtelaine ont copié l'article de La Presse canadienne : des musulmanes craignent l’impact de la loi sur la neutralité religieuse. Warda Naili et Fatima Ahmad figurent parmi les femmes musulmanes qui s'inquiètent de leur sort dans la foulée du projet de loi sur la neutralité religieuse du gouvernement du Québec.
On remarquera que tous les médias qui en ont parlés, étaient des médias fédéralistes, qui plus, l' attaque dernièrement au métro Charlevoix a été couverte encore une fois que par des médias fédéralistes, CTV NEWS, CBC, GLOBLS NEWS, 1690 AM Concordia University radio, etc.
C'est quand même drôle, Fatima semble être la seule à subir des contrecoups liés à la loi 62 et maintenant la loi 21. Elle dit qu'elle a trop peur de prendre le bus et le métro depuis que le projet de loi 62 a été adopté au Québec.
Il faut aussi jeter un coup d'oeil sur ses messages sur Facebook, elle semble vraiment persécuté, par tout le monde.
Remarquer bien ci-dessous un article du Journal de Montréal le 24 octobre 2017, la récente adoption de la loi 62. Fatima, elle dit que les incidents se sont intensifiés depuis le projet de loi 21 et la même chose qu'elle dit avec le projet de loi 62.
Après avoir subis un supposé attaque Fatima Ahmad parle de crime à la hausse.
En plus M Fatima, semble accuser les médias français (du Québéc) de ne pas vouloir lui donner d'entrevus, effectivement j'ai démontré plus haut dans l'article que la couverture médiatique a été presque seulement faite par les médias fédéralistes, les médias fédéralistes qui mangent dans les mains du premier ministre Justin Trudeau, pour avoir droit aux subventions qui seront octroyées aux meilleurs qui montreront patte blanche à son programme multiculturaliste.
Il faut peut-être voir cela d'un autre angle, si les médias du Québec ne veulent pas s'impliquer et lui donner une couverture médiatique, c'est peut-être comme moi, ils pensent que c'est une personne qui est controversée, qu'elle est trop de proximité, son militantisme démontre trop son implication à la cause, comme c'était le cas avec la loi 62 et c'est facile de faire un false flag.
C'est quand même bizarre cette histoire, ne croyez-vous pas ? Par contre, ce qui n'est pas bizarre, que les médias fédéralistes lui donnent de la crédibilité.