Dernièrement, lorsque je militais pour le parti Québécois dans le quartier Rosemont, j'ai fait la rencontre d'un ancien membre qui a été un ami de René Lévesque, dans les années 60 tout juste avant la fondation du parti. Surpris et amusé de voir mon véhicule aux couleurs du PQ, il a engagé la conversation et m'a appris certaines choses sur le fameux monde journalistique et le fait de savoir s'il m'a raconté la vérité, pour ma part, je n'en doute pas une seconde.
Je dois dire que je n’ai pas été surpris de ses révélations. Je débutais, en lui parlant du parti Québec Solidaire qui m'avait fait intercepter plusieurs fois par les policiers, pour soi-disant harcèlement criminel. L'histoire courte de Québec Solidaire, je lui racontai que des appels avaient été faits plusieurs fois au centre 911, dû au fait que je passais devant le local situé sur la rue Rosemont).
Nous avons discuté sur divers sujets, une bonne trentaine de minutes bien assit à une table du parc Maisonneuve dans le quartier Rosemont. Il m'a parlé des années qu'il a passées au côté de René Lévesque. Nous sommes venus sur le sujet de la censure, je lui disais qu'aujourd'hui peu importe le sujet, quand ça ne fait pas l'affaire de quelqu'un on se fait signaler sur les réseaux sociaux.
Il me confia qu'il n'allait presque jamais sur la toile pour naviguer, mais qu'il pouvait m'en dire plus à propos de la censure. Intriguer, il me raconte que ses deux frères sont journalistes depuis toujours, durant un souper, ses frères lui auraient confié que la plupart des journalistes pratiquent la censure en signalement sur les réseaux sociaux des comptes de médias indépendants et/ou même des comptes qui partagent des articles associé à des médias indépendants.
Mais pour aller encore plus loin, certains grands médias engageraient des gens pour signaler les médias indépendants, mais la plupart du temps c'est directement les journalistes qui font la job sale. Il me disait que ce n’est pas nouveau et tous les gens qui sont proches des journalistes connaissent se secret.
Bien sûr, je m'en doutais depuis toujours, ce n'est pas une surprise.