Michel Courtemanche qui s'attaque à l'autocensure qui fait des ravages depuis que le multiculturalisme canadien

 

Mille fois BRAVO à Michel Courtemanche qui s'attaque à l'autocensure qui fait des ravages depuis que le multiculturalisme canadien importé par Trudeau père et imposé à la marionnette Trudeau fils cogne à nos portes. La censure des textes avant même leur diffusion est devenue monnaie courante.

Les francophones du Québec assistent docilement à un vol en plein jour de leur liberté d'expression, leur identité, leur culture et leur langue, et à part les souverainistes, personne n'ose élever le petit doigt.

Imaginez, même le chef de la CAQ ne juge pas prioritaire pour le moment la sauvegarde de la langue française. Il a reporté aux calendes grecques les mesures "costaudes" promises pour freiner le déclin de notre langue, mais attention, le financement insensé des collèges anglophones Dawson et McGill demeure une urgence.

Ironiquement, François Legault n'est même plus gêné de cette absurdité et ses ouailles se cachent la tête dans le sable pour ne pas le critiquer... pandémie oblige. De toute façon, un bon petit sondage Léger, quelques publicités ciblées et un point de presse à la TV par le croquemort de la santé Christian Dubé pour annoncer une possible troisième vague, et voilà le tour est joué, les brebis égarées entrent au bercail.

Pendant ce temps, nous le bon peuple, on est exposé à des émissions pro-canadiennes comme "Tout le monde en parle" ou des navets comme "La Maison bleue" qui font sournoisement la promotion du fédéralisme canadien. Et si par malheur une émission comme "Les frans-tireurs" ose ébranler leur château de verre, elle est tout simplement retirée des ondes.

Sans compter toutes les émissions à la TV et à la radio qui nous bombardent d'artistes francophones qui chantent en anglais, la langue des nouveaux arrivants clandestins de la passoire Roxham et les invités du monde entier de Justin Trudeau pour mieux angliciser Montréal, puis le Québec, nous contrôler et bien sûr emmagasiner des votes rouges.

Le tout sous le regard ébahi du néo-fédéraliste François Legault qui regarde passer sans broncher la parade mondialiste, celui qui a cessé de japper fort après Ottawa compte tenu que tous ses efforts pour quémander plus de pouvoirs ou d'argent pour le Québec ont fait "patate". Même ses amis conservateurs se sont joints aux libéraux de Trudeau mardi pour rejeter la simple motion du rapport d'impôt unique pour le Québec proposée par le Bloc Québécois.

Et que dire de tous ces médias d'information et journalistes qui vivent au crochet du "généreux" gouvernement Trudeau qui a saupoudré 600 millions de nos impôts sur cinq ans pour les sauver de la banqueroute. On comprend mieux pourquoi des médias comme La Presse, le Devoir et The Gazette n'écorchent par trop notre deux de pique national à Ottawa et son valet Legault au Québec.

 

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