Mario Roy poursuit La Presse - OBNL pour 275 000 dollars

 

La Presse - OBNL et le journaliste Philippe Teisceira Lessard sont poursuivi en justice pour une somme de 275 000 dollars pour diffamation après avoir publier un article sur Mario Roy le 15 mai 2019.

Une mise en demeure a été envoyé l'an passé, le procureur de La Presse, le Bureau Chenette qui défend les intérêts des la famille Desmarais à répondu que l'article ne contenait aucun propos diffamatoire.

Mario Roy avait fondé l'organisme, l’Unité citoyenne d’enquêtes anticorruption (UCEAC) et selon lui,  Philippe Teisceira-Lessard de La Presse à La Presse a littéralement contribué à son malheur en le dénigrant et en faisant des liens avec le groupe Storm Alliance, qui avait organisé une soirée de financement pour l'organisme.

Voici les grandes lignes de la (demande).

M Roy à fondé l'organisme suite à une bavure judiciaire en chambre de la jeunesse alors qu'un signalement avait été fait concernant l'abus sexuel dont son enfant a été victime par le conjoint de sa mère.

Un jugement avait été rendu permettant au pédophile de retourner vivre sous le même toit que l'enfant mais privant M Roy de tout contact avec son enfant. Le demandeur a retenu les services de l'expert psychiatre Pierre Mailloux qui confirma que le que M Roy était sain d'esprit et qu'il avait raison lorsque celui-ci disait qu'il y avait un complot des intervenantes dans son dossier.

M Roy a déposé une plainte criminelle auprès des constables spéciaux de St-Jérôme concernant les acteurs dans le dossier de son enfant.  Suite à l'inaction de l'enquêteur attitré au dossier, M Roy décida de préparer les arrestations citoyennes des acteurs du dossier.

Un procès eut lieu à Montréal en mars 2016 dans lequel M Roy fut acquitté à l'unanimité par le jury quant aux accusations de menaces de mort et d'intimidation d'un membre de l'appareil judiciaires qui avaient été portées.

Durant la procédure de ce procès, M Roy fut mis en arrestation pour avoir voulu se présenter au greffe de la chambre de la jeunesse de St-Jérôme afin d'obtenir un enregistrement audio d'une audience devant servir en défense pour son procès à Montréal.

Le juge présidant le dossier déclara l'accusé non coupable en invoquant que le procureur ne s'était pas déchargé du fardeau de la preuve mais se ravisa après avoir été induit en erreur. En août 2010 m Roy fut reconnu coupable d'agression armé (d'une porte) en fermant la porte de la résidence familiale lors d'une agression dont il était victime.

M Roy s'était représenté seul vu que son avocate lui avait fait faux bond la journée du procès. M Roy voulu faire appel et l'avocate (feu Daddie Carline René) laissa volontairement dépasser le délai d'appel.

M Roy a tout sacrifié, afin que le système judiciaire protège son enfant, en allant étudier les lois dans les bibliothèques pour se représenter seul vu les désistements successifs de Feu Daddie Carline René et Me. Yann Trignac.

Durant 5 ans M Roy se buta à la porte de tout organisme communautaire concernant ses déboires avec la direction de la protection de la jeunesse et c'est par empathie envers diverses familles du Québec qu'il décida en janvier 2016 de créer le Centre d'entraide familial l'Unité qui devint par la suite l'Unité citoyenne d'enquêtes anti-corruption.

En plus d'avoir investi 8 000$, M Roy a effectué plus de 7 500 heures de bénévolat afin de mettre sur pieds l'organisme et espérait pouvoir la développer afin de pouvoir verser des salaires à lui-même ainsi qu'aux autres bénévoles au même titre que l'organisme La Presse.

M Roy a été autorisé par deux employés du ministère de la sécurité publique à effectuer des travaux communautaires de forme judiciaire sur les deux chefs d'accusations pour lesquels il a été reconnu coupable, travaux notamment effectués pour le dossier médiatisé« Son rêve lui vaut la prison ».

Le Barreau du Québec a intenté des poursuites judiciaires contre M Roy en tentant de dissimuler les autorisations devant les tribunaux. Vu le silence des médias concernant les bavures dont M Roy était victime, celui-ci se joint en 2018 à deux groupes citoyens (La Meute et Storm Alliance) afin de sensibiliser des gens au piètre service qu'offre le directeur de la protection de la jeunesse.

Philippe Teisceira Lessard est journaliste pour le Journal La Presse depuis 2012.  M Lessard connait son obligation professionnelle lui interdisant par la loi de rédiger et publier un article visant à nuire à une personne.

Les 13 et 14 mai 2019 le défendeur communiqua avec M Roy afin d'obtenir une entrevue concernant le dossier de la petite martyre de Granby. Malgré les avertissements que le journaliste à reçu, il rédigea un article visant à lui nuire en le faisant passer pour un fou dangereux tout en prenant soin de publier une photo de lui.

L'article a été repris par différent médias tel que le Journal Le Soleil, 98.9 fm, 106.9 fm, CTV News, Blvd 102.1 fm. Dans son article diffamatoire le journaliste invoque à tort que l'organisme d'entraide est un organisme complotiste lié à l'extrême droite.

Le journaliste a agi de mauvaise foi en écrivant : « « Je suis ce qu'on appelle quelqu'un d'illuminé. J'ai compris /la Game, je l'ai étudiée, j'ai des contacts en masse, je sais comment ça fonctionne», a affirmé M. Roy dans un enregistrement qu'il a fait parvenir à La Presse ».

Le journaliste a rédigé son article à la suite de deux appels téléphoniques faits à M Roy qui ont été enregistrés et lors desquels il avait mis en garde le journaliste de ne rien déformer sous risque de poursuite civile.

Le journaliste a volontairement nui à sa réputation en mettant quelques brèches de son plumitif sans avoir voulu prendre connaissance des dossiers, pourtant disponibles, et pour lesquels le M Roy avait rencontré en 2011 le journaliste André Noël pour dénoncer le jugement permettant à un pédophile de retourner avec sa victime, qui était son enfant.

Le journaliste a volontairement voulu présenter le demandeur comme un homme fou et dangereux dirigeant un organisme de complotistes alors que celui-ci détient 128 dossiers prouvant divers complots orchestrés par des employés membre du barreau du Québec et diverses intervenantes des centres jeunesses.

L'article a été partagé par différents usagers du réseau social Facebook et plusieurs commentaires prouvent l'atteinte à la réputation du demandeur allant même à inciter à se plaindre auprès du site Go Fund Me. L'organisme compte parmi les membres de son conseil d'administration M. Gabriel Lapez, musulman affiché agissant comme conseiller tout en gérant la page Facebook de l'Unité citoyenne d'enquêtes anti-corruption.

M. Lapez a constaté lors d'une levée de fonds que le groupe Storm Alliance n'est pas un groupe d'extrême droite nationaliste tel qu'étiqueté par les médias. Aucun membre de l'exécutif de Storm Alliance n'a assisté aux rencontres de conseil d'administration de l'organisme ni pris une décision concernant la direction professionnelle de l'organisme.

Aucun membre de l'organisme n'a assisté aux rencontres de l'exécutif de Storm Alliance ni pris une décision concernant la direction à prendre pour les activités de militantisme. Une levée de fonds organisée par une personne ou un groupe citoyen ne lie d'aucune façon l'organisateur à l'organisme bénéficiaire ... Une levée de fonds est une activité pour amasser des dons et non une activité criminelle faite afin de récolter des prêts à taux usuraires avec redevabilité.

À la suite des gestes du journaliste et du Journal La Presse, M Roy a subi de graves dommages.

Sans les agissements fautifs des défendeurs, M Roy continuerait à développer l'organisme dans lequel il a investi les quatre (4) dernières années de sa vie.

Sans les agissements fautifs des du journaliste et de La Presse M Roy pourrait continuer les sorties familiales sans craindre de nuire à la vie professionnelle de son amie de cœur.

Sans les agissements fautifs du journaliste et de La Presse M Roy ne vivrait pas continuellement avec le sentiment d'échec professionnel lié à la cessation des services de l'organisme.

Depuis la parution de cet article l'organisme créé par M Roy a subi une perte financière drastique au point que l'organisme a suspendu ses services n'étant plus capable de subvenir à ses dépenses qui étaient couvertes par différentes levées de fonds et plateformes de dons.

Depuis la parution de cet article, M Roy a tenté de retourner sur le marché du travail et n'a pas réussis à trouver d'emploi dans différents domaines dont dans le domaine forestier, soit celui qu'il a occupé durant plus de 23 ans dont 10 ans en tant que sous-traitant.

Depuis la parution de l'article M Roy doit restreindre ses sorties publiques en famille afin de ne pas nuire à la réputation et la carrière professionnelle de son amie de cœur.

Depuis le mois de décembre M Roy a accepté un projet de développement d'un verger et d'une cidrerie mais craint fortement que l'article diffamatoire nuise au plein développement du projet. Depuis la parution de l'article M Roy a vu son rêve de créer un organisme d'aide aux familles détruit après plus de 7 500 heures de travail et un investissement de 8 000 $.

Depuis la parution de cet article il arrive encore à M Roy de se faire insulter publiquement concernant les propos tenus dans l'article.

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