Premièrement, j'ai toujours dit, on ne mord pas la main qui nous nourrit, appelons les médias Mainstreet où le médias Fake News!
J'aimerais que vous portiez attention à quelques articles des médias sortis après la dénonciation de cette femme. Le média Ving 55 Journaux Web, l'article écrit par Éric Beaupré photo reporter. Tout de suite dans le premier paragraphe , Beauprés sort la carte que cette Drummondvilloise, serait une complotiste, bref la carte préférer des médias fakenews.
Dans le troisième paragraphe, il publie les grandes lignes de la dénonciation sur les réseaux sociaux de Mylène Hébert . Le 4 quatrième paragraphe, il dit que sa dénonciation, a rapidement été visionnée plus de 3 000 fois et partagée à de nombreuses reprises, provoquant une véritable onde de choc au sein de la communauté drummondvilloise, tant auprès des citoyens que dans les milieux d’affaires.
Sauf qu'à 3000 partages c'est très loin d'une onde de choc comme il aimerait vous faire croire, mais son texte pourrait par contre servir à la justice pour trainer cette femme dans la boue,, (le demandeur votre honneur, même le journal Ving 55 à préciser que c'était une onde de choc dans le milieu des affaires.
Le 5 cinquième paragraphe , il dit que Mylène Hébert aurait choisi de dénoncer ses agresseurs pour son 40e anniversaire, sauf que madame Hébert en à parler et tenter de dénoncer bien avant ses 40 ans! la question que je me suis posée, si Madame Hébert n'a jamais été crue par les policiers, etc. Qui ci-dessous accusait Yves-François Blanchet en 2021 ?
Comment ça se fait, si j'ai le document en main, que j'ai partagé de nombreuses fois, que les journalistes ne l'ont pas publié!, pourquoi ? puis-je suggérer qu'ils ferment les yeux, comme Éric Beauprés!
Dans un paragraphe le journaliste Éric Beauprés essais de nous amener à amoindrir les faits reprocher, spécifiant que les informations fournies par la plaignante, elle était au moment des faits âgé dans la vingtaine. Au lieu de nous dire que Madame Hébert nous aurait confirmé au moment de fait qu'elle était âgée dans la vingtaine.
Vérifications faites par le Vingt55, les personnes nommées dans cet article, désignées par la Drummondvilloise, n'ont fait l'objet d'aucune accusation criminelle à ce jour et bénéficient donc pleinement de la présomption d'innocence, et ce, jusqu'à preuve du contraire ou jusqu'au dépôt d'accusations formelles appuyées par des éléments probants.
Et Beaupré rappelle que toute personne accusée au criminel a droit et bénéficie de la présomption d’innocence jusqu’à la décision d’un juge au terme d’un processus judiciaire complet.
En fait je ne pense pas qu'un journaliste doit nous nous rappeler ce que le code criminel,, c'est comme s'il nous disait, ne croyez pas ce que raconte madame Hébert.
Si les allégations d'inconduite ou d'agression sexuelles ne sont pas vrais, pourquoi le Chef du Bloc n'a jamais voulu poursuivre cens gens ? Il serait très facile pour lui sous poursuite en diffamation de les faire taire pour au moins 30 ans.
Je me tenais à plusieurs endroits, surtout dans les afterhours, j'ai connu Jerry Boulet et sa gang, j'ai aussi été invité plusieurs fois par des amis d'Éric Lapointe à participer à des soirées, sauf que je ne l'aimais pas beaucoup, ainsi que Blanchet, j'ai vu des choses, qu'aujourd'hui je ne suis pas vraiment surpris d'entendre une femme d'énoncer ce duo!
Pour terminer Monsieur le journaleux Écric Beauprés du média Ving 55 à signé en 2024 un article, intitulé : Le chef du Bloc Québécois, Yves-François Blanchet, et le député de Drummond, Martin Champoux, réitèrent l’urgence d’agir pour relancer les médias et l’information. ( qui bizarrement aujourd'hui il a été supprimé dernièrement)
Et encore Monsieur Beaupré ne parle pas de ce témoin direct :
Je suis un témoin direct de l’histoire de Mylène. En l’an 2000, j’étais en fonction comme agent de sécurité lorsqu’elle a été admise au Pavillon Laforest. Nous étions trois agents en poste ce jour-là.
Je me souviens encore très clairement du choc que j’ai ressenti en lisant son rapport d’admission. Ce que j’y ai découvert m’a bouleversé.
Mylène avait été interceptée dans un bar de danse-contact à Saint-Hyacinthe. Le rapport mentionnait explicitement qu’elle était victime d’un réseau de traite sexuelle particulièrement organisé et dangereux.
C’était difficile à croire, presque irréel. J’étais jeune à l’époque, peu préparé à affronter une telle réalité. Heureusement, mon sergent, plus expérimenté, m’a encadré avec bienveillance et m’a offert de précieux conseils pour que je puisse intervenir de manière juste et humaine auprès d’elle.
Je lui en suis encore profondément reconnaissant.
Mylène a été placée dans un petit corridor isolé, à portes closes. Je tiens à préciser que cette décision ne venait pas de nous, les agents de sécurité, mais des autorités supérieures. Elle était visiblement très fragilisée, profondément effrayée. Ses yeux parlaient d’eux-mêmes : elle portait en elle une terreur indescriptible. Elle faisait l’objet d’une surveillance constante, 24 heures sur 24.
Un soir, alors que j’étais de garde, Mylène m’a demandé l’autorisation d’aller aux toilettes. C’est à ce moment qu’elle m’a remis une lettre, rédigée au stylo rouge. J’ai senti qu’elle me faisait confiance, qu’elle me confiait quelque chose d’important.
Cette lettre contenait des informations graves. Sans tarder, je l’ai transmise à mon sergent, qui l’a ensuite remise à la direction du Pavillon.
Ce n’était pas la seule lettre : elle en a rédigé plusieurs. Chaque fois, je les ai remises à mon supérieur, espérant qu’elles soient conservées dans son dossier. Avec le recul, j’aurais peut-être dû en conserver une copie pour nos propres archives, tant ces témoignages étaient bouleversants.
Je me souviens de la pitié sincère que je ressentais pour elle. Elle a passé un temps considérable isolée dans ce petit espace aux murs de ciment, à proximité du secteur d’isolement. Ce n’était pas une brève période, loin de là.
Plus tard, dans ma vie, j’ai eu l’occasion de croiser Mylène à quelques reprises. Je prenais toujours le temps de la saluer et de m’informer discrètement sur son bien-être.
Elle travaillait énormément. Son regard me frappait toujours autant : profond, sombre, habité par une douleur silencieuse. Mais un jour, je l’ai vue lors d’une fête autour d’une piscine, entourée d’amis communs. Elle était accompagnée de Jocelyn Lemire.
Ce jour-là, je l’ai vue sourire. Elle avait l’air heureuse, vivante. J’ai ressenti une profonde joie de constater qu’elle semblait enfin revivre.
Mylène a profondément marqué ma vie. J’ai toujours espéré qu’elle parvienne à se reconstruire malgré l’horreur de ce qu’elle a vécu. Son courage m’inspire encore aujourd’hui.
Mon commentaire:
Merci du fond du cœur je n’ai pas de souvenir de ce que tu dis mais je suis sûre que tu dis la vérité.