Hugo Pilon Larose, avec son nez brun, ce qu'il ne nous dit pas, ce qu'il cache. Encore une excellente démonstration de la désinformation servit à la population du Canada par un média près de la faillite.
Voici l'exemple parfait du journaleux qui obéit au doigt et à l'oeil à ses patrons.
Selon Pilon-Larose Pierre-Karl Péladeau se serait retrouvé sur la sellette, hier, quand la députée Catherine Dorion, ex-blogueuse chez Québecor, a mis en doute l’indépendance des salles de rédaction du conglomérat médiatique qu’il préside.
Le journaliste explique qu'a la question posée par notre charmante députée Catherine Dorion de Québec solidaire à Pierre-Karl Péladeau
« garantir qu’il n’y aura pas six journaux de plus où il sera tabou de critiquer » si son entreprise acquérait les quotidiens de Groupe Capitales médias, menacé de faillite.
M. Péladeau a refusé de lui donner la réplique, estimant que la députée cherchait à se « mettre en spectacle » elle lui à répondu par la suite : «C'est une vrai question M Péladeau» il lui à répliqué «c'est une vrai réponse Mme la député»
Ce que Hugo Pilon-Larose ne vous dit, pas, il a sans doute oublié de vous en parler. C'est que Pierre karl-Péladeau n'avait que 20 secondes pour répondre à la question due au temps qui était allouée. Sachant par le fait même que c'était impossible de réponde, il aurait répondu qu'elle cherchait à se « mettre en spectacle »
La députée, à t-elle fait exprès, pour utiliser tout le temps alloué et laisser que quelques secondes à PKP ? Pratique très courante et anti-démocratique au Salon rouge. De plus elle lui dit TOUT BÊTEMENT, vous êtes sûr il vous reste 13 secondes!!
Pierre-Karl à bien raison, elle s'est donné encore une fois en spectacle. Et c'est là que l'on comprend pourquoi les médias ont besoin d'aide!
André Claude Boies