Le ministère des Transports du Québec cherche par tous les moyens de se sauver de ses obligations, pour des travaux qui ont mal affectés par ses travailleurs incompétents de la voirie.
Depuis presque trois mois Mme Watson attend elle et son fils une décision qui ne semble pas vouloir aboutir, dû moins après preuves à l'appuie Transport Québec semble vouloir se sauver d'une facture de 5000 00 $.
Pour établir la responsabilité de Transport Québec, il doit exister un lien entre le dommage déclaré et une faute de la part du Ministère.
Durant des travaux de marquage sur la route 335, Mme Watson à été aspergé le 23 septembre de peinture blanche, par le véhicule qui faisait les travaux de marquage. Mme Watson n'aurais jamais été en mesure de savoir qui aurait été le responsable si ce n'était pas de sa fille qui lui avait donné rendez-vous au Tigre Géant à Saint-Anne-des-Plaines, qui à remarqué la peinture blanche la même journée.
Mme Watson s'est immédiatement accompagné de sa fille diriger vers un lave auto l'autre côté du Tigre Géant, l'employé du lave-auto a confirmé que c'était de la peinture de marquage. Mme Watson s'est alors dirigée à l'endroit exact ou il y avait des travaux de marquage de la route et s'est stationné pour parler à un employé, un homme dans un camion de transport Québec, celui-ci à conseillé agressivement de se plaindre au numéro de téléphone 511.
Mme Watson était dans le Quadrilatère de Terrebonne, La Plaine , Saint-Anne-des-Plaine, il aurait été impossible pour elle de connaitre l'endroit exacte, si elle s'en avait aperçu que beaucoup plus tard.
Après que Mme Watson a porté plainte au Ministère du Transport, M Deneault technicien en évaluation de dommage et de responsabilité civile a indiqué dans un courriel envoyé à son fils qu'il n'avait jamais eu de marquage de route le 23 septembre, or qu'il n'était pas responsable et à eu la gentillesse d'indiqué à son fils qu'il restait quelques jours aux délais de prescription pour porter plainte, soit que deux jours.
Comme Mme Watson est âgée et n'aurait jamais été en mesure de faire des plaintes aux trois municipalités, soit Terrebonne, La Plaine et Saint-Anne-des-Plaine, il est évident qu'elle perdait toute chance de se voir dédommagée. La Journée que son fils a reçu ce courriel, soit le 7 octobre, celui-ci n'a pas été travaillé le lendemain et a réussi à porter plainte dans les trois municipalités qui étaient concernées.
À la mairie de Saint-Anne-des-Plaine on lui à clairement dit, qu'il n,y avait eu aucun travaux, que c'était Transport Québec, son fils à alors immédiatement répliqué «Bon on va commencer à se lancer la balle?» le directeur aux travaux à attendu la conversation et est sortie de son bureau à la rencontre du fils pour lui dire «C'est toujours comme ça avec Transport Québec, si vous saviez comment on doit obstiné avec eux autres, c'est toujours du chamollage» l'homme en question promet qu'il fera un appel à une personne à Transport Québec et qu'il en aurait le coeur net.
Le 9 octobre, le lendemain après que le directeur aux travaux avec dit au fils de Mme Watson qu'il passerait un coup de fil à Transport Québec, M Deneault comme par hasard, lui revient par courriel, lui disant qu'il a retrouvé un rapport de marquage de route. Son fils dit ne pas croire au hasard.
Dans un courriel au fils, il le met en garde qu'il reste deux jours avant le délais de prescription se termine, son fils tout comme sa mère pensent que tous avait été calculé, M Deneault savait que des travaux avait été fait le 23 septembre, que Mme Watson était âgée et croyait qu'elle ne pourrait pas porter plaintes à temps, surtout dans trois municipalités.
Donc Transport Québec s'en lavait les mains ...
Entre temps le fils de Mme Watson avait reçu la réponse aux trois plainte formulés aux municipalités, selon les principaux responsable des travaux, aucune n'était responsable du marquage.
Le premier téléphone de M Deneault à Mme Watson, c'était pour connaitre son histoire, M Deneault demande à Mme Watson s'il avait des lignes jaune, elle lui répond qu'il n'y avait que de la peinture blanche. M Deneault lui dit qu'il avait des connes pour pas que les gens passent sur les lignes.
Son fils ne pense pas que c'est dû à un passage sur des lignes avec l'épaisseur de la peinture sur la voiture, mais plutôt à un arrosage fait par la machinerie quand on lui a demandé de la dévier. «C'est impossible que ce soit seulement le passage sur une ligne, il y a beaucoup trop de peintures» Mme Watson dit «s'il y avait eu des cônes, j'aurais senti quelque chose, je l'ai auraient vu»
M Denault explique que les travailleurs mettent des connes pour éviter ce genre d'incident, mais voici, que monsieur Denault ne semble pas vraiment au courant des travaux qui sont effectués sans aucun cônes. Deux vidéos à proximité de l'endroit, travaux de marquage effectué par Transport Québec, vous allez constater, c'est quoi une job de marde!
Deuxième téléphone: il dit « vous m'avez dit que les travailleurs faisaient des lignes jaunes la première fois que je vous ai parlé !» Mme Watson « Non je vous ai dit que c'était des lignes blanches» M Deneault semblait ne pas avoir écouté ce que Mme Watson lui avait dit lors du premier appel, ou tentait-il plutôt de la mélanger pour avoir un motif de refuser la réclamation ?
Selon Mme Watson, quoi qu'il en soit, Transport Québec est responsable des dommages et doit avoué ses torts et la dédommager.
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