J'ai été intercepté à Montréal dans le quartier Rosemont sur la rue Molson par deux policiers fantômes directement dans la cour du poste de police de la rue Molson après avoir passé moi-même un appel à 911, figurez-vous donc que les policiers m'ont donnés des informations erronés.
Un seul avait voulu me donner son nom, mais le nom qu'il m'a donné ne figure pas comme policier pour la déontologie policière, donc en gros il m'a menti, mais c'est évident qu'il m'a menti, car si ça n'avait pas été le cas, sa carrière aurait pris un mauvais chemin.
Que faisaient-ils à Montréal, avaient-ils juridiction pour me suives et procéder à mon interception dans la cour du poste de police 44. Québec Solidaire à passé 2 appels le 1er octobre, soit une à 11h57 AM et l'autre à 12h02 PM, pour harcèlement, menaces, parce que soi-disant je passais devant leur local qui pourtant jamais en aucun cas je ne leur ai adressé la parole.
Comme je disais deux appels ont été passés, qui à répondu à ces appels, surement quelqu'un, car pourquoi j'ai été suivi par deux policiers et intercepté, pourquoi ce n’était pas le SPVM ? Mais ce qui me chicote et je vais le savoir très bientôt, qui à donné le mandat à ces deux policiers, mais encore là-dessus j'ai une petite idée.
Selon le policier supposément "Fournier" Vincent Marissal, m'aurait aperçu dans sa cour, sa femme aurait eu peur et pleuré. Faut dire que c'est pas mal loufoque, mais si ce policier a affirmé ça et que ça avait été vrai et que cette supposée plainte avait été retenue, car croyez-moi que j'aurais été arrêté rapidement chez moi ou sur la rue.
Ce que j'ai appris, après avoir été acheter un café et un muffin le 27 septembre à 12h30 am au Couche-Tard, j'ai rapidement mangé mon muffin dans mon véhicule et je suis parti, un appel à 911 étés passés à 12h37 pm. L'appel en question harcèlement et agressivité, menace, etc. J'ai été intercepté par un policier qui m'a émis une contravention, mais au bout du compte il n'avait aucun motif pour m'intercepter, car l'appel n'avait pas été retenu, supposément, je n'avais pas mon clignotant pour tourner dans le stationnement chez Maxi, mais comme j'ai une caméra de sécurité dans mon véhicule, ça sera débattu en Cour.
Après mon interception, je suis retourné au Couche-Tard, j'ai parlé avec les employés, à la minute que j'ai quitté le stationnement des gens de Québec solidaire sont venus poser des questions, l'employé leur a dit que je parlais avec un client, mais que ma voix portait fort. ( Ce n'était pas une histoire d'altercation, c'était quelqu'un que je connaissais) Quelques jours plus tard, je suis retourné au Couche-Tard, j'avais perdu ma facture et j'avais besoin d'une preuve que l'appel avait été passé 7 minutes plus tard. Le gérant m'a dit que je dérangeais Québec Solidaire, c'est ce que les policiers lui ont dit.
Il est clair que je dérageais Québec Solidaire, le nouveau députer Vincent Marissal du quartier Rosemont que j'ai croisé plusieurs fois pendant que je militais pour le Parti Québécois au coin des rues Iberville et Masson.
Bref, peu importe, j'ai retrouvé mon fameux policier "Fournier" j'attends d'autres informations sur celui qui l'accompagnait. L'agent "Fournier" avait aussi un visage très jeune et une cicatrice au bas de l'oeil côté gauche et croyez-moi on oublie pas ce genre de visage. On m'a humilié, accusé faussement sur des paroles de Vincent Marissal, l'autre policier m'a clairement dit que c'était les plaintes venaient de lui.
J'ai dit, j'ai déjà parlé avec Vincent Marissal, immédiatement celui-ci m'a dit, Vincent Marissal ne vous connait pas!, tout de suite j'ai soupçonné des liens rapprochés, parce qu'il m'avait dit ne jamais lui avoir parlé personnellement.
Ici je ne donnerais pas le nom du policier aussi longtemps je n’aurais pas toutes les informations. Je sais que l'interception n'était pas légale. Pourquoi me donner un faux nom, si cette interception était légale, pourquoi l'autre policier n'a jamais voulu me donner son matricule ? (Sur le deuxième policier, j'ai une bonne idée) En me donnant un faux nom ils croyaient pouvoir s'en sortir, ils pensaient que je ne les retracerait jamais, erreur, ils ont laissé beaucoup d'indices.
La question que je me suis posée tout de suite après m'avoir enquêté, la réponse m'est venue tout de suite, que serait-il passé si je n'avais pas appeler moi même 911 et si j'avais été intercepté sur une petite rue en soirées, m'auraient-ils agressé plus physiquement que j'ai été devant les policiers de SPVM. (JE N’EN DOUTE PAS UNE SECONDE)
En plus ils m'ont menacé de me mettre en état d'arrestation si je retournais militer. À suivre.. Pour lire l'histoire au complet c'est ici