On est rendu ou, là ? Comment peut-on accepter les paroles d'une personne qui occupe le poste à la présidence de la Fédération des femmes du Québec «FFQ» quelle façon de souligner la semaine de la valorisation de la paternité.
Non, mais il faut avoir du culot, pour dire, des paroles aussi groteste et méprisante.
Qu'est-ce qu'elle dirait, si je lui disais qu'une femme à bite n'a pas sa place sur ce genre d'organisme qui est supposer partager les valeurs féministes et représenter les femmes du Québec et non les personnes transgenres ? Qui n'a jamais entendu, à la blague, une femme disant à son homme, «ta réfléchie avec ta queu!» est-ce c'est votre c...?
La société a changé et les pères veulent s'impliquer et c'est tout à leurs honneurs d'être là pour les besoins de leurs enfants, la fierté d’assumer leurs responsabilités. Ce n'est pas facile, certains vivres des détresses, des peines, dus à une séparation ou même un deuil, mais papa reste debout pour son enfant.
Quand Gabrielle Bouchard sort de t-elle paroles, c'est un peu comme détruire le vouloir et le désires d’être père.
N’avez-vous pas, vous-même à une époque, dans votre jeunesse été perturbé, ressenti des moments troublants. Des difficultés de vous faire accepter par la société, prisonnières votre corps, annoncé à votre entourage que vous êtes transgenre? Rappelez-vous!
De plus, vous êtes une personne très controversée, qui n'a pas sa place sur la FFQ, surtout quand vous soutenez et démontrez publiquement de la sympathie sur le réseau social Facebook, un criminel , tel que Jaggi Singh. En avril 2011, il a plaidé coupable à une accusation d'avoir encouragé à commettre un méfait de plus de 5000 $