La question, pourquoi est-ce que se sont toujours les médias fédéralistes qui ont des difficultés financières, est-que c'est à cause que les gens ont de moins en moins confiance, parce qu'ils savent que ces médias visent seulement la ligne éditorialiste fédéraliste, parce qu'ils défendent toujours les positions politiques des partis libéral.
Des journalistes, des chroniqueurs et dirigeants qui ne sont pas démocratiques, qui se servent de la presse pour faire avancer le libéral, ils sont tellement pourris, pourris à l'os. On se rappellera de la scène du film québécois Elvis Gratton XXX: La Vengeance d’Elvis Wong (2004), il achète l'empire médiatique Power Corporation, la scène ou Alain Dubuc arrive avec des apprenties journalistes à quatre pattes comme des chiens, obéissant à leur maitre.
« Et pour les journalistes honnêtes qui aimeraient faire leur travail, est-ce possible pour eux de s'opposer aux dirigeants qui suivent toujours la même ligne éditorialiste : que redoutent-ils ? Une moins grande sécurité d’emploi, autocensure, perte de confiance du public à leur endroit, dégradation de la qualité de l’information, anonymat d’une direction lointaine et absente. »
Maintenant, c'est un pensez-y-bien, en 2004 Falardeau et Poulin ont illustré la réalité de nos médias, Radio-Canada, La Presse( Power Corporation a acheté de Conrad Black, Le Soleil de Québec, Le Quotidien de Chicoutimi et Le Droit d’Ottawa-Gatineau, portant ainsi à 70 % son contrôle de la presse écrite au Québec), déjà on savait qu'ils étaient des vendus, c'était sur les grands écrans au Québec.
En 2018, rien n'a changé, les médias resteront corrompus tant et aussi longtemps que le gouvernement ne mettra pas ses culottes. Martin Cauchon qui n'est plus à la direction des médias Groupe Capital, mais reste tout même actionnaire, évidement, si Québec injecte encore de l'argent, il va s'en mettre plein les poches.
Est-ce un coup monté pour démontrer l'urgence de la cause,... est-ce que ça serait vraiment surprenant ?
Même La Presse - OBNL n'arrive pas à remonter la pente.
Les états financiers de «La Presse» ne sont pas connus, mais le journal perdrait de 30 à 50 millions $ par année, selon les estimations de l’analyste financier Paul Holden de la CIBC, publiées en 2018.
Nos fédéralistes sont inquiets, ils ont peurs.
Ce qui est quand même très spécial, les médias fédéralistes comme La Presse, Radio-Canada et même directement Capital Médias qui nous sortent une nouvelle chanson, celle de prétendre, que si Pierre-Karl Péladeau achète Capital Medias, nous serons en danger d'avoir des médias avec un parti pris (donc antidémocratique) qui pourtant ont toujours repoussé l'idée, que ça n'existait pas.
Est-ce que ça vaut la peine de sauver des médias comme La Presse et les autres qui ne sont pas rentables et ne le sera jamais et suivent seulement la ligne éditorialise, celle du fédéralisme? Est-ce que quelqu'un s'est déjà posé la question, sur la possibilité que certains médias disparaissent à cause de leur propagande fédéraliste ?
Y'a-t-il vraiment de l'intérêt à lire un journal, quand tu peux prédire avant de le lire quelle position y sera exprimée à l'avance. Nous le savons, vous le savez et tout le monde le sait. Le bon peuple est peut-être bien écoeuré de se faire bourrer!
Mais le plus drôle dans tout ce cirque, c'est que nos médias se plaignent de Google pour dire qu'ils n'ont plus d'argent (c'est à cause de Google), mais au fond tous les médias se servent de Google pour des revenus supplémentaires. Les géants de web siphonnent les revenus publicitaires.
La Preuve :
André Claude Boies