Catherine Dorion député de Taschereau souverainiste, indépendantiste, elle continu sans la moindre gêne à en rajouter sur Pierre-Karl Péladeau.
Cette indépendantiste défend bec et ongle une institution fédéraliste comme Capital Medias, c’est qu’il y a anguille sous roche.
C'est presqu'une révélation qu'elle nous fait, tout ça démontre l'intérêt qu'elle porte aux libéraux, un futur saut qu'elle va faire un de ces jours sur la bannière libérale, mais va-t-on vouloir d'elle ?
On ne peut pas se prétendre indépendantiste et défendre les intérêts de Capital Medias ou la ligne directrice éditorialiste est fédéraliste pure et dure.
Ici il y a une inconnue , une traîtresse ? dans un parti qui dernièrement juste avant les élections d’octobre 2018, prônait fermement l’indépendance et disait vouloir faire un référendum, l'indépendance dans la première année, si Québec Solidaire était porté au pouvoir.
Quand elle parle de sa prétendue expérience avec Quebecor, peut-on s’y fier et croire qu’elle a porté un témoignage honnête ? N’est-ce pas facile aujourd’hui pour un politicien ou politicienne de mentir pour obtenir un bénéfice quelconque.
N’est-ce pas facile surtout pour Catherine Dorion surtout pour elle, qui semble porter un déficit d’attention (agir avant de réfléchir aux conséquences) d’inventé des histoires dans le but de faire parler d’elle.
La vraie question qu’est-ce qu’elle a à gagner en sachant qu’elle fait du tord à Pierre-Karl Péladeau ? Absolument rien! elle ne pense à mousser sa popularité, mais elle à oublier quelque chose, une chose très importante, le code d'honneur.
Elle affirme qu'elle s'est souvenue la fois où elle a été engagée par Québecor. Sa prise de position pour Capital Medias semblait plutôt être une revancharde contre Québecor qui lui a donné la chance d’écrire et de se faire connaitre quand elle mangeait encore du Craftdiner.
Catherine Dorion semble trainer, accumuler les échecs les unes après les autres, un boulet qui devient lourd et selon moi, elle vient de se tirer directement dans le pied. Dans mon livre à moi "excuser les expressions anglophone"on appelle cela une «stoule» et toute cette affaire, ça sent, le «frame-up».
On ne peut pas se dire indépendantiste et défendre les idées fédéralistes.
André Claude Boies