Ce qu'on n'explique pas dans ce "super article du https://www.lepoint.fr/high-tech-internet/le-modele-economique-de-facebook-et-google-dans-le-viseur-d-amnesty-international-21-11-2019-2348738_47.php ", c'est que Google censure tous les médias du monde avec son programme Google Adsense.
L'article parle seulement de protection de données, mais quand est-il de la censure.
Google permet la publication de publicités via son programme Google Adsense, mais vous devez respecter les règles de ne pas publier du contenu qu'il décide lui-même être du contenu raciste, de ne pas parler contre l'immigration, de ne pas publier des vidéos ou l'on peut voir de la violence, mais surtout la vérité, ce qui se passe en France ou en Afrique du Sud, etc..
Si je vous disais que les médias n'ont aucun choix d'agir selon les règles de Google, car ils risquent la punition, oui, oui, "un bonne claque sur le fesses" Google ne décide pas de censuré, Google c'est seulement une entreprise comme n'importe qu'elle autre.
Sauf qu'il faut comprendre que les médias ont tout à perdre de ne pas respecter les règles de la censure de Google, une diminution de dizaines milliers de dollars en publicités par mois.
Google n'est pas responsable de la censure, il ne fait que suivre les directives des gouvernements mondiales, comme ici au Canada, c'est notre gouvernement qui oblige Google à censurer sous menace de se faite tirer la plug.
Tout le monde sait, que Trudeau n'a pas été rencontré M Pichai le directeur de Google pour la question terrorisme et de l'extrémiste violent. Voyons, c'est Trudeau, lui-même qui fait la promotion du terrorisme, il fait entrer par la grande porte au Canada des djihadistes, c'est simplement des excuses bidon. C'était pour censurer encore et encore plus les médias qui parlent d'immigration comme d'une chose négative.
Google surveille les médias, Google surveille YouTube, qui n'a jamais été censuré sur YouTube ? Même Les Manchettes a été censuré par Google via la dénonciation d'un journaliste, son but c'était me faire perdre mes revenus de Google Adsense.
Voici ci-dessus les règlements Google Adsense, Exemple: Contenu qui met en avant des groupes incitant à la haine : Les Manchettes à publié un article sur les Antifas de Montréal et a été censuré, AVERTISSEMENT sous peine de fermer mon compte Google Adsense, Les Manchettes à publier plusieurs articles sur Trudeau, http://lesmanchettes.com/actualites/politique/171-tel-pere-tel-fils-justin-trudeau-pierre-elliott-trudeau Google à menacé de fermer mon compte.
Dernier article qui a fait fermer mon compte Google, "les violences en Afrique du Sud", Google gardé mes revenus gagnés, Google = un grand voleur!
Mais je vais aller encore plus loin. Nous avons un média canadien, La Presse Canadienne qui presque la majorité des médias traditionnels qui achètent des articles, des nouvelles conçues à l'avance et de manière à ne pas les modifier, c'est interdit.
Mais quel but exactement à La Presse Canadienne à de vendre leurs articles ? N'est pas la façon idéale d'exercer de la censure, de contrôler tous les médias, voir, tout ce qu’Ottawa veut qu'on voit. On décide de l'article à publier. Un outil anti-démocratique.
La Presse Canadienne : nous offrons des nouvelles dans tous les formats, en français et en anglais, couvrant une large gamme de sujets au Canada et à travers le monde.
Facebook et Google ne sont pas bien vus chez Amnesty International. L'ONG a vivement Facebook et Google ne sont pas bien vus chez Amnesty International. L'ONG a vivement critiqué mercredi le modèle économique « fondé sur la surveillance » des deux géants du Net, le qualifiant de « menace systémique pour les droits de l'homme ».
Dans un rapport, l'ONG argue qu'en rendant leurs services en ligne, gratuits, indispensables à des milliards de personnes, puis en utilisant les données personnelles ainsi collectées pour des publicités ciblées, ces groupes menacent les libertés d'opinion et d'expression.
« Leur contrôle insidieux de nos vies numériques sape le fondement même de la vie privée et c'est l'un des défis majeurs de notre époque en termes de droits de l'homme », a déclaré Kumi Naidoo, secrétaire général d'Amnesty, cité dans un communiqué.
Atteinte de la vie privée
« Google et Facebook ont progressivement rogné le respect de notre vie privée. Aujourd'hui, nous sommes piégés. Soit nous nous soumettons à cette vaste machine de surveillance – où nos données sont facilement utilisées pour nous manipuler et nous influencer – soit nous renonçons aux avantages du monde numérique », a-t-il ajouté.
« L'extraction et l'analyse des données personnelles, dans des proportions aussi gigantesques, sont incompatibles avec les différentes facettes du droit à la vie privée, notamment la liberté de ne pas subir d'intrusion dans nos vies privées, le droit de contrôler les informations nous concernant et le droit à un espace nous permettant d'exprimer librement nos identités », écrit Amnesty.
La publicité est « une arme »
Selon l'ONG, « la vaste architecture publicitaire de Google et Facebook est une arme puissante entre de mauvaises mains », car « elle peut être détournée à des fins politiques » et « laisse le champ libre à toutes sortes de nouvelles stratégies publicitaires aux relents d'exploitation, comme le fait de s'en prendre à des personnes vulnérables qui luttent contre la maladie, les troubles mentaux ou l'addiction ».
L'ONG appelle donc les gouvernements à « agir de toute urgence » en faisant notamment « appliquer des lois solides sur la protection des données et en réglementant efficacement les activités des géants de la technologie ».
Défense
Facebook s'est défendu contre ce qu'il a qualifié d'inexactitudes dans le rapport. « Le modèle économique de Facebook n'est pas, comme le suggère votre synthèse, axé sur la collecte de données des personnes », a dit le groupe en réponse à un résumé du rapport d'Amnesty. « Comme vous le relevez de manière correcte, nous ne vendons pas des données, nous vendons des publicités. »
Le patron et cofondateur de Facebook, Mark Zuckerberg, a appelé les gouvernements à davantage de régulation sur la gestion des données personnelles, au lieu de laisser des compagnies privées prendre des décisions cruciales concernant par exemple les limites de la liberté d'expression.