La Presse, à toujours servi de soutien au Canada anglais et sait toujours porter au secours de sa mère-patrie, qui est l'Angleterre, elle toujours servi à la couronne britannique par le fédéral.
La Presse n'a jamais été autre chose qu'un instrument, outil pour faire avancer la cause des fédéralistes et toujours été anti-démocratique.
Dès ses tout débuts, c'est un journal qui va s'identifier rapidement aux intérêts du Parti libéral fédérale, notamment sous Wilfrid Laurier. Dans les années 1960, ça été racheté par Paul Desmarais de Power Corporation.
On a vu La Presse au cours des dernières années perdre son édition papier, son électorat, ses revenus publicitaires, fondre littéralement, presque disparaitre.
La Presse avait tout visé sur une plateforme numérique qui n'a rien donné et ça été vendu au Toronto Star qui à mis fin après avoir dépensé des millions en deux ans, un modèle d'affaires qui n'a donné aucun résultat.
Power Corporation s'est débarrassée de La Presse, mais à tout de même garder le contrôle sur l'orientation politique du journal et sert encore et encore le fédéraliste canadien, sans avoir en assumer les couts.
Mais comme les Desmarais ont des contacts assez bien tissé avec les libéraux, le fédéral à proposé la formule d'organisme sans but lucratif, dans laquelle les gens pourront investir. Le gouvernement fédéral a autorisé un statut d'organisme sans but lucratif à La Presse, sa pose de sérieuses questions de partialité, quand de l'autre côté on sait que Pierre-Karl Péladeau a été refusé pour obtenir un OSBL sur son institut de recherche sur l'indépendance.
C'est d'une évidence même de malhonnête du fédéral qui accepte de subventionner La Presse et surtout une évidence même que La Presse - OSBL sert le fédéral. Quelle générosité de Paul Desmarais qui annonce qu'il va donner 50 millions à un OSBL qui sera déductible d'impôt, qui est-ce qui va payer la générosité de Power Corporation ? (les citoyens canadiens)
C'est là qu'on peut voir que le modèle de La Presse, c'est boiteux pas à peu près. C'est une grosse arnaque, c'était une façon pour eux de sauver de l'argent, La Presse était de plus en plus déficitaire d'année en année que le petit 50 millions que Power à payé.
Avant qu'elle soit transformée en OSBL, il existait un investisseur, Graeme Roustan un anglophone originaire de Sherbrooke qui voulait acheter La Presse, il a offert de lui rendre son statut papier, les Desmarais ont refusés. Il existait déjà un contentieux entre eux, à propos d'investissement dans la compagnie Bauer (Bauer soupçonné de délit d'initié).
«L’action chute pendant des mois, et tout à coup ce bond de 30 % tout juste avant la fermeture du marché. Qu’est-ce qui s’est passé?» demande-t-il.
Graeme Roustant avait aussi critiqué l'orientation idéologique de La Presse, il a dit « ces gens là, ne veulent pas que le modèle d'affaires fonctionne, ils sont là, pour promouvoir l'idéologie des fédéralistes» s'il y avait eu transactions les Desmarais auraient été obligés de sortie publiquement les états financiers, des ententes cachées avec Radio-Canada et surement bien d'autres choses. (beaucoup de squelettes dans le placard)
La Presse est maintenant contrôlée par les anciens, comme Guy Crevier et le directeur général Pierre-Elliott Lavaseur, c'est difficile de faire plus fédéral que ça (Pierre-Elliott). En fait, c'est une gigantesque arnaque, même Luc Lavoie le fédéraliste pur et dur de l'émission La Joute (TVA), ne sait pas gêné pour dénoncer la magouille.
Le Journal de Montréal qui à une version papier un plateforme numérique, est rentable et ne quête pas de subventions, pourquoi tous les anciens journaux de l'écurie des Desmarais, du Groupe Capital Media sont déficitaires ?
La Question : Si La Presse n’était pas pro fédéral, si elle était pour l'indépendance, si elle n’était pas porteuse de thèmes antisouverainistes, serait-elle encore subventionnée, serait-elle encore là depuis toutes ces années ? Il faut aussi se demander si Les Desmarais ont voulu se débarasser de La Presse parce qu'il faisaient mauvais figure dans les dernière années avec la compagnie Lafarge.
On entretien des organes de propagande qui font l'affaire de l'État profond canadien.
Petite histoire au début de La Presse
Son côté partial ne date pas d'hier, elle a été fondée en 1884 en temps d'Honoré Mercier, par William-Edmond Blumhart. Trefflé Berthiaume devient alors le dirigeant en 1889 et propriétaire en 1894. En 1904, Trefflé Berthiaume vend son journal au conservateur David Russell. Mais Berthiaume avec l'aide de Wilfrid Laurier (sauf qu'il n'a rien qui prouve que Laurier à aidé Berthiaume) , rachète a son journal en 1906, le ramenant ainsi dans le giron libéral.
La Presse demeurera entre les mains de la famille Berthiaume-Du Tremblay jusqu'en 1967. Le journal est alors acheté par Trans-Canada propriété de Power Corporation.
La Presse (avec le Montreal Star du côté anglophone), sera au tournant du 20e siècle l'exemple le plus frappant du passage de la presse d'opinion à la presse d'information, alors que le contenu du journal et sa présentation changent radicalement, On peut facilement le constater en comparant la une du journal en 1884 et en 1912.
En gros pour ceux qui ne le savent pas , La Presse (pour na pas trop tomber dans la vulgarité) baise le c... de la reine depuis sa fondation et est servante de l’Empire britannique. La Presse se disait être l'organe de Canadiens français, mais depuis le début La Presse nous a prouvé le contraire.
Bien oui, La Presse ne sait jamais cacher pour démontrer sa partialité au monde libéral.
Savez-vous que la plupart des financements provenaient et proviennent toujours principalement du parti politique libéral ?
Savez-vous que journal La Presse à pris position en faveur de la Constitution du Canada ?
Dans le temps
Savez-vous, que durant la déclaration de guerre par l'Angleterre à l'Allemagne en 1914, La Presse a été saccagée par les Canadiens français en à cause de son parti pris pour le Canada anglais ? Les forces anglaises ont besoin de renfort, l'engagement militaire ne fournit qu'un nombre très limité de soldats.
Robert Borden / Wilfrid Laurier
Le premier ministre Robert Borden veut voir les Canadiens français aller au front combattre pour l'Angleterre, en fait la demande au chef de l'opposition à cette époque, Wilfrid Laurier qui refuse catégoriquement. Borden avec l'aide des libéraux forme un gouvernement unioniste et déclenche des élections, mais le gouvernement du Québec vote encore massivement contre l'idée d'aider l'Angleterre.
Tous les journaux du Québec désapprouvent cette guerre, La Presse, appuis le principe d'envoyer des hommes à la guerre, même qu'elle déclare que la population canadienne veut aider. La loi du service militaire sera adoptée le 24 juillet 1917. Tous les citoyens âgés de 24 à 35 ans qui sont célibataires ou veufs sans enfants devront aller combattre.
Au Québec, ils étaient très nombreux ceux qui ne voulaient pas se battre pour l'Angleterre, ils préféraient se cacher, pour eux, considérer comme une guerre juste visant à défendre les idées libérales ou à soutenir l’Empire britannique. Pour compléter le tableau, le ministre de la milice, Sam Hughes , qui détestait cordialement les Canadiens français a engagé le capitaine Charles Desrochers, le diable en personne, charger de trouver ceux qui voulaient échapper à la loi du service militaire.
Ces hommes ont payé un prix très élevé pour avoir effectué leur devoir, le nombre total des morts et des blessés s’élevant à 234 741, plusieurs autres milliers d’hommes décédaient de leurs blessures dans l’immédiat après-guerre.
La grippe espagnol
Le 7 octobre 2018, la grippe espagnole fait sa première victime à Montréal. On l'appelle comme ça parce que le premier diagnostic a été fait en Espagne. Il y a eu 34 morts et 622 malades chez les militaires Canadiens français de Saint-Jean, à Montréal plus de 200 soldats ont aussi été atteints.
Le Canada fait toujours la chasse aux conscrits en fuite, il poursuit son effort de guerre comme si la guerre allait durer une centaine d'années. La Presse dans son édition du 10 octobre elle laisse entendre que c'est à cause des militaires que l'épidémie se répand.
Dans son édition du 25 octobre 1918, voici quelque titre : L'influenza est une maladie née de cette guerre - Nombreux décès chez les militaires, le fléau à travers le continent. La Presse en rajoute, le journal écrit : il est inutile de prendre toutes ces mesures de précautions si l'on permet aux soldats de répandre l'épidémie.
Le Gouvernement Canadien
Le gouvernement canadien qui travail pour la couronne britannique à toujours eu besoin de La Presse et des médias anglais pour transmettre ses messages ses idées avant toutes décisions. Comme les Canadiens commencent à comprendre le jeu qui se dessine, commencent à délaisser les médias traditionnels, le gouvernement canadien n'a pas trouvé mieux que d'aider les médias à coup de centaines de millions de subventions.
Quand les médias répandent des idées, même si elles sont plus ou moins réalistes, juste le fait de les publier, d'en parler amoindris l'impact dans la population et permet au gouvernement d'aller de lavant avec de nouvelles lois. La Presse a toujours eu le gout de l'influence politique libéral.
Aujourd'hui c'est encore plus grave, pour ne pas avoir de place à l'erreur, pour que le peuple écoute, on se sert de firme de sondages qui sont infiltrés par des fédéralistes, par des amis, des amis des ministres en poste. Voici un exemple d'une publication de TVA Nouvelles:
Ce média prétend qu'un sondage aurait été fait, 2000 canadiens qui auraient de plus de 18 ans ont pris part à ce sondage. C'est 2000 sur 37,653,998 millions de personnes et on nous dit que les Canadiens sont d'accord. Qui plus on ne donne même pas la proportion de qui était pour ou contre, mais peu importe, ça ne change rien, c'est impossible et c'est prendre les gens pour des idiots. On se sert de TVA pour donner des arguments au gouvernement d'aller de l'avant avec un projet de loi, qui dans la plupart des cas est décidé d'avance.
Faisons le calcul : 37,653,998 PERSONNES AU Canada , seulement au Québec c'est 6 841 776 personnes qui ont droit de vote. Au Canada (extérieur de la province du Québec) c'est ... qui a droit de vote.
Radio-Canada et la Presse
Pour ceux qui ne le savent pas, Radio-Canada ou La Presse c'est du pareil au même. Voici une vidéo qui vous expliquera essentiellement les dessous nébuleux, les ententes passées entre de Radio-Canada et La Presse :
La Presse n'a jamais été rentable, elle a toujours servie d'instrument politique, quand Power Corporation là acheté, la preuve de sa non-rentabilité, la famille Desmarais à toujours refuser de publier ses états financiers. Quand Trefflé Berthiaume a acheté La Presse , elle était cousue de dettes, il a réduit un peu l'endettement, La Presse était moins sous l'influence politique, donc le financement se faisait rare.
Berthiaume engage Arthur Dansereau, un journaliste qui décide de l'orientation politique que va prendre ce journal, il rédigeait lui-même les pages politiques pour faire avancer la Parti libéral. Mais, c'était est une grande catastrophe son parti pris était visible. Une organisation d'individus s'est formée en vue d'acheter La Presse pour en faire l'organe du parti conservateur pour influencer une décision, celle de faire abolir l'accord conclut entre le gouvernement fédéral et la compagnie ferroviaire du Grand-Tronc.
La Compagnie de chemin de fer du Grand Tronc du Canada (Grand Trunk Railway Company of Canada en anglais), couramment appelé le Grand Tronc, est une compagnie de chemin de fer canadienne, créée en 1852, pour relier Montréal à Toronto.
En faillite en 1919, elle est prise en charge par le gouvernement fédéral canadien qui l'intègre en 1923 aux Chemins de fer nationaux du Canada.
On raconte que Berthiaume aurait vendu sous l'influence de l'alcool, on l'aurait saoulé au Champagne avant de le faire signé la contraire. L'affaire a fait un gros scandale et regrettera sa décision. Comme cette vente lui a permis d'avoir beaucoup d'argent, plus de prestige, son but était de racheter le journal. Il parvient finalement à reprendre en partie le contrôle sur son journal en le rachetant à perte.
La Presse Canadienne
Parlons un peu de La Presse Canadienne, qui sert à la même chose que La Presse, un outil libéral. Au temps de Duplessis (la crise de la conscription, enrôlement, recrutement) le gouvernement du Canada demande à Sa Majesté Georges VI d'entrer en guerre avec le Reich allemand.
On peut dire que le Canada anglais est plus près à une guerre que la Grande-Bretagne, le Canada entre en guerre, mais aussi dans une lutte politique qui soulignera encore une fois le fossé profond entre les Canadiens français (surtout ceux de la province de Québec) et les Canadiens anglais.
Mackenzie King
En 1937 le gouvernement augmentait radicalement les dépenses militaires, le premier ministre Mackenzie King mentionnait qu'on ne pouvait pas refuser de se battre, se tenir l'écart d'une guerre qui s'engagerait avec le Commonwealth. (est une organisation intergouvernementale composée de 52 États membres qui, pour la plupart, sont d'anciens territoires de l'Empire britannique).
Cette guerre impliquait la conscription, or le canada français était contre. Au Québec on se rappelle encore les nombreux morts dans une guerre décidée par le Canada anglais. Mackenzie impatient consulte des ministres provinciaux, bien sûr, à l'exception de Duplessis qui lui ne voulait absolument rien savoir de cette guerre.
Mackenzie veut voler au secours de sa mère-patrie, Sa Majesté Georges VI est venu faire un tour au Québec et se réjouis des preuves de loyalisme des CanadienS. Mackenzie songe sérieusement à invoquer des mesures de guerre.
Duplessis et la censure de Radio-Canada
Duplessis, contre cette idée, se déclare l'ennemie irréductible de cette guerre, le gouvernement canadien sort ses gros canons pour vaincre le gouvernement provincial. C'est à ce moment qu'un torrent de propagande haineuse se déverse contre Duplessis dans La Presse Canadienne et particulièrement dans La Presse. On disait littéralement qu'un vote pour Duplessis, c'est un vote pour Hitler!
Radio-Canada annonce en date du 22 septembre 1939 que pendant la période de guerre le bureau de la censure doit examiner tous les discours à caractères politiques et que ceux-ci ne pourront être radiodiffusés sans autorisation.
Déjà à cette époque on se servait de Radio-Canada pour museler Duplessis, mais il laisse les ondes grandes ouvertes à ses adversaires ( un exemple, un point de retour à 2018, souvenez-vous du parti Québec Solidaire, Radio-Canada et La Presse ont joué le jeu de la censure, presque tous a été censuré sur le PQ, bien sûr le but était de faire avancé Québec Solidaire pour enlever des votes au PQ, pour qu'il ne soit pas minoritaire avec la CAQ).
Le 25 octobre Duplessis est écrasé, grâce à la censure et l'influence des médias, Mackenzie remporte la première manche, mais le 25 mars King finit par gagner.
Le Canada anglais
L'histoire démontre sans aucun doute que le Canada anglais était prêt à sacrifier les Canadiens français, on ne se servait de nous rien de plus. Le 19 juin 1940, un projet de loi est présenté, la mobilisation de toutes les ressources humaines et matérielles «pour la défense et la sécurité du Canada» tous les hommes aptes à devenir militaires seront enregistrés.
Maire de Montréal Camillien Houde
Le maire de Montréal qui n'est pas en faveur de cette loi, il refuse de se faire enregistrer et demande aux Québécois d'en faire autant. La Gazette de Montréal demande carrément l'arrestation de Camillien Houde en vertu des articles de loi , 21 et 39 des mesures de guerre.
La Gendarmerie Royal l'arrête le 5 aout 1940 et on l'expédie dans un camp de concentration.
Les manifestations étaient violentes, on fait même sauter un pont, des milliers de Canadiens français se cachent dans les bois et les villages sous de fausses identités. On disait que le Canada possédait plus de 200 000 hommes, des volontaires, mais la plupart des volontariats était aider par de moyens de pression qui ne laissait pas beaucoup le choix.
Mackenzie disait s'être engagé pour que les circonscrits ne soient pas envoyés en Europe, mais il changera d'idée et se libèrera de ses engagements. Entre temps, il fait passer une nouvelle loi qui oblige les hommes de 24 à 40 ans célibataires ou veufs sans enfants à s'inscrire pour un tirage au sort.
La ligne pour la défense du Canada
La ligne pour la défense du canada, laquelle on retrouvait Jean Drapeau, André Laurendeau, Paul Gouin, et Gérard Fillion, disait, s'il faut défendre le Canada, notre pays qui est attaqué , on le fera quand l'ennemie sera là. Mais envoyer des hommes se faire tuer en Europe, jamais!
Jean Drapeau ira même jusqu'à dire le 11 février 1942 «s'il le faut, on devra peut-être séparer le Québec du Canada.
À la question : pour le service militaire, le Canada répond par 2 945 514 oui contre 1 643 006 non. Au Québec c'est 993 663 non et 373 188 oui, seulement 273 155 personnes ont voté non en dehors du Québec. C'est le début de la crise!
Projet de loi
King prépare un projet de loi pour envoyer les hommes en Europe. King trouve qu'il n'a pas assez de célibataires, on fait maintenant appel aux hommes mariés, même qu'il veut conscrire aussi les femmes. Pour le Québec ça n'a aucun sens, la police militaire court après les insoumis sans relâche, une fois attrapés ils les jettent en prison.
La guerre se terminant en Europe le 8 mai 1945, le 14 aout 1946 le ministre du Travail supprime l'enregistrement obligatoire. Mais la division entre Canadiens Canadiens français et Canadiens anglais vient de faire un pas de plus.
Le Château Frontenac réquisitionné
Le 8 aout 1943, la Gendarmerie Royal, en vertu de la loi des mesures de guerre, réquisitionne le Château Frontenac et les vide de ses habitants, à savoir un grand nombre de députés provinciaux, dont Maurice Duplessis.
Grâce aux consignes rigides de la censure, aucun des journaux et la radio ne parlent de cette réquisition. Par contre, les journaux américains l'annonce deux jours à l'avance, les médias canadiens sont furieux, contre l'indiscrétion des journaux étrangers, mais se félicitent que l'honneur des médias canadiens soit sauf.
«Ce n'est pas la première fois qu'on mobilise nos journaux et qu'ils répondent à l'appel comme de bons soldats».
On à jamais su, quelle était la participation des Canadiens français sur-le-champ de bataille pendant la guerre 39-45, ce n'était pas parce qu'il manquait de soldats, mais plutôt parce que les forces armées canadiennes se définissaient comme «British Imperial Forces» or l'unité c'était l'anglais.
Il ne fallait pas parlé français à bord de certaines unités comme la Royal navy, car c'était considéré comme un crime, dans la plupart des cas ils étaient déclarés inapte pour le service. Chaque fois qu'ils y avaient des tentatives de créer des unités françaises, on répondait royalement que cela nuirait à l'unité.
Radio-Québec
En 1945 Duplessis présente une loi pour que la province de Québec puisse avoir une Radio-Québec.
Depuis 1929 Québec se bat contre Ottawa pour avoir son propre réseau de radio, Radio-Québec, ce qui provoque un duel Ottawa-Québec, duel qui va de la menace de désaveu envers la Cour Suprême, pour aboutir devant le Conseil Privé de Londres, c'est Ottawa qui gagne, ainsi nait Radio-Canada.
Durant la guerre ledit Radio-Canada était partiale. Non seulement il a refusé de passer les discours de Duplessis en direct durant la campagne électorale de 1939, mais à laissé les libéraux parler comme ils voulaient.
Radio-Canada n'était pas seulement une chaine fédérale, mais aussi l'organisme qui émet les permit pour les postes privées. Et Radio-Québec n'est qu'un poste privé comme les autres (retenez ceci) «seul Ottawa pouvait posséder une radio d'État». Le projet Radio-Québec est mort pour des questions techniques.
Le ministre de la Justice Saint-Laurent croyait avoir tué Radio-Québec, mais Trudeau en à hérité, par un simple arrêté en Conseil le 22 février 1968, Daniel Johnson met «en éveil» la loi du 20 avril 1945. Comment ? En transformant Radio-Québec en office de communication audiovisuelle de l'éducation et de la culture, lesquelles matières sont provinciales.
Il est triste de constater que les bureaux de la censure sont revenus au gout du jour, comme en temps de guerre. Pour le mot de la fin, les seuls, les seuls, médias à qui vous pouvez faire confiance aujourd'hui ce sont les médias alternatifs qui ne sont pas financés par nos gouvernements, donc la censure n'existe pas.