Décembre 1938, le Time, qui vient d’élire (à lui tout seul) le fraudeur sénile Joe Biden et l’ultra gauchiste à tendance fascisante Kamala Harris « Personnes de l’année », faisait de même pour Adolph Hitler, en expliquant son choix par l’article suivant :
« Le plus grand événement médiatique de 1938 a eu lieu le 29 septembre, lorsque quatre hommes d’État se sont réunis au Führerhaus, à Munich, pour redessiner la carte de l’Europe. Les trois hommes d’État présents à cette conférence historique étaient le Premier ministre britannique Neville Chamberlain, le Premier ministre français Edouard Daladier et le dictateur italien Benito Mussolini. Mais le personnage dominant à Munich était sans aucun doute l’hôte allemand, Adolf Hitler.
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Führer du peuple allemand, commandant en chef de l’armée, de la marine et de l’aviation allemandes, chancelier du Troisième Reich, Herr Hitler récolta ce jour-là à Munich la moisson d’une politique étrangère audacieuse, provocante et impitoyable qu’il avait menée pendant cinq ans et demi. Il avait mis en pièces le traité de Versailles. Il avait réarmé l’Allemagne jusqu’aux dents – ou aussi près des dents qu’il le pouvait. Il avait volé l’Autriche sous les yeux d’un monde horrifié et apparemment impuissant.
Tous ces événements étaient choquants pour les nations qui avaient vaincu l’Allemagne sur le champ de bataille seulement 20 ans auparavant, mais rien ne terrifiait autant le monde que les événements impitoyables, méthodiques, dirigés par les nazis qui, à la fin de l’été et au début de l’automne, menaçaient de déclencher une guerre mondiale sur la Tchécoslovaquie. Lorsqu’il réduisit sans perte de sang la Tchécoslovaquie à un état fantoche allemand, força une révision drastique des alliances défensives de l’Europe, et gagna les mains libres pour lui-même en Europe de l’Est en obtenant une promesse de « non-intervention » de la part de la puissante Grande-Bretagne (et plus tard de la France), Adolf Hitler devint sans aucun doute l’Homme de l’année 1938.
La plupart des autres figures mondiales de 1938 ont perdu de leur importance à la fin de l’année. La « paix avec honneur » du Premier ministre Chamberlain semblait plus que jamais n’avoir ni l’un ni l’autre atteint. Un nombre croissant de Britanniques se moquaient de sa politique d’apaisement des dictateurs, croyant que rien d’autre qu’une reddition abjecte ne pourrait satisfaire les ambitions des dictateurs.
De nombreux Français ont le sentiment que le Premier ministre Daladier, par quelques coups de plume à Munich, a fait de la France une puissance de second rang. Faisant l’apologie de Mussolini dans ses gestes et copiant le complexe criard d’Hitler triomphant, le Daladier autrefois libéral en fin d’année en fut réduit à utiliser des artifices parlementaires pour garder son poste.
En 1938, le dictateur Mussolini n’était qu’un associé subalterne de la société Hitler & Mussolini, Inc. Son agitation bruyante pour obtenir la Corse et la Tunisie de la France était considérée comme un bluff faible dont les objectifs immédiats n’étaient rien de plus que des péages moins chers pour les navires italiens dans le canal de Suez et le contrôle de la ligne ferroviaire Djibouti-Addis-Abeba.
Eduard Benes, le « petit homme d’État le plus intelligent d’Europe » pendant 20 ans, a disparu de la scène internationale. Dernier président de la Tchécoslovaquie libre, il était désormais un exilé malade du pays qu’il avait aidé à fonder. Le pieux généralissime chinois Chiang Kaishek, homme de 1937, fut contraint de se retirer dans une « nouvelle » Chine occidentale, où il risquait de ne devenir qu’une respectable figure de proue d’un mouvement communiste enveloppant. Si Francisco Franco avait gagné la guerre civile espagnole après sa grande campagne de printemps, il aurait peut-être été l’homme de l’année. Mais la victoire échappait encore au généralissime et la lassitude de la guerre et la désaffection du côté de la droite rendaient son avenir précaire. »
Mais le 10 juillet 1933, le Time récidivait en publiant en première page une photo du ministre allemand de la propagande, Joseph Goebbels. Sous sa photo se trouve la citation : « Dites-le en rêve : ‘Les Juifs sont à la dérive' ».
L’article qui l’accompagnait décrivait l’attitude des Allemands envers les Juifs : « Les vrais Allemands n’ont pas été vaincus pendant la guerre, c’est pourquoi le conte nazi s’adresse aux grands enfants.
Ils ont été trahis par les pacifistes juifs. Marx était un Juif ! Dans la foulée de la révolution allemande, les Juifs ont fomenté une République allemande essentiellement marxiste. Sous l’inflation « que seuls les Juifs comprenaient », ils ont saigné à blanc les vrais Allemands par leurs spéculations intrigantes. D’une manière ou d’une autre, ils avaient quelque chose à voir avec la montagne de dettes que les Alliés avaient accumulées sur l’Allemagne.
Tous ces « faits » sont profondément importants dans l’Allemagne d’aujourd’hui. Ils sont à l’origine de la résurgence nationale. En rejetant la faute sur leurs semblables juifs, les autres Allemands s’échappent de leur prison mentale d’infériorité. De plus en plus fort, le ministre de la Propagande dîne à poings fermés et en martelant l’exhortation qu’il a lancée depuis la moitié des tribunes et sur toutes les radios d’Allemagne : « Ne l’oubliez jamais, camarades, et répétez-le cent fois pour le dire dans vos rêves – « LES JUIFS SONT LES COUPABLES ! »
Reste à savoir comme l’Histoire jugera le Time quand il sera enfin admis que cette élection a été le théâtre de la plus grande fraude de tous les temps et que, tout compte fait, sous leur air bon enfant, le corrompu sénile Joe Biden (dont la famille fait désormais l’objet d’une enquête sévère) et la gauchiste hystérique autoritaire Kamala Harris ont mis en place les mêmes pratiques que les nazis pour parvenir à leur fin.
Pour faire bonne mesure, de même que les nazis ont incendié le Reichstag pour faire porter le chapeau aux communistes et accélérer la mise en place de la dictature hitlérienne, il ne leur reste plus qu’à mettre l’Amérique à feu et à sang… Ah, mais tiens, ils ont déjà commencé.
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