Patrick Choquette a manifesté dernièrement devant TVA Nouvelles, devant Le Palais de Justice, ainsi que d'autres endroits. Il veut des réponses du Syndic du Barreau de Montréal. La Presse qui est située juste au côté de l'endroit où il a manifesté , semble l'ignorer complètement ainsi que les autres médias qui passent tout droit en véhicules.
À la question du pourquoi les médias l'ignorent, évidemment les médias et les journalistes ont aussi des avocats et les loups ne mangent pas les loups!
Ce n’est pas une, mais trois accusations aux criminelles pour une ex-avocate du Barreau et elle semble toujours plus crédible aux yeux du Syndic qu'un homme désirant obtenir justice, la réparation de sa réputation.
Le plaignant en question: a fait une première plainte au syndic du Barreau le 22 octobre 2019, qui a été rejeté sous prétexte que l'Ex-Me Élaine Leroux n'était pas trouvable. Patrick Choquette a déposé une nouvelle plainte, mais cette fois, il a fait une plainte privée au Barreau le 10 janvier 2020.
Suite aux procédures devant le Conseil de discipline, il démontre avec preuves et témoins à l'appui que le Barreau semble avoir des choses à cacher. L'avocate reconnue coupable à trois reprise pour des délits graves, celle-ci devait rendre une copie des paiements (factures) ou du compte en fidéicommis de l'argent de son ex-client lors d'une comparution le 29 septembre 2022.
Elle n'a pas rendu copie des documents , elle devait rendre les copies à la suite d'une ordonnance qui avait été émise par la présidente Me Hélène Desgranges du Conseil de discipline pour l'audition de le 29 septembre 2022.
Les membres du Conseil de discipline du Barreau n'ont pas réprimandé l'ex-avocate, même que le comité à complètement ignorer les demandes du plaignant, quand celui-ci à poser la question à savoir pourquoi le tribunal se taisait, la présidente membre du Conseil de discipline à cette question, elle dit : « M Choquette nous avons fait le tour des questions» M Choquette à répondu «qu'il était clair qu'ils avaient un parti pris pour cette ex-avocate».
La présidente faisait la sourde oreille à cette question qui a été posée plusieurs fois de suite, elle n'a pas demandé à l'ex-avocate Élaine Leroux si elle avait en sa possession les documents qui démontraient que les avances de fonds remises étaient bel et bien déposées dans son compte en fidéicommis.
Alors que l'ex-avocate était supposée, témoigner sous serment et fournir les documents sur les avances de fond. Me Desgranges à autorisé une demande (requête de la pars de l'ex-avocate) pour faire cassé ses propres demandes, les documents qu'elle lui avait elle-même demandé pour l'audition du 29 septembre 2022, que ces documents-là ne soient pas dévoilés (avance de fonds). La demande de l'ex-avocat sera entendue le 12 janvier 2023.
Le 1er février 2021, le plaignant demande une enquête sur les sommes d'argent remises à l'avocate, soit un total de 10,000.00$ , la réponse du Syndic : l'avocate a représenté M Choquette de juin 2009 à juillet 2010, alors on lui répond que l'avocate n'est plus inscrite au tableau de l'ordre des avocats depuis novembre 2012.
Les sommes remises étaient en argent comptant, elles devaient être déposées dans un compte en fidéicommis. Après analyse, le Syndic disait avoir consulté une première plainte déposée en octobre 2019 par le plaignant, le Syndic répond qu'il n'y a pas matière à porter des accusations contre l'ancienne avocate et la décision a été maintenue par le comité de révision du Barreau du Québec.
Durant l'enquête le Syndic aurait fait une demande auprès de l'institution bancaire ou l'avocate détenait un compte en fidéicommis, le Syndic n'aurait pas été en mesure d'obtenir les relevées bancaires pour la période du mandat qui lui a été confié, de juin 2009 à juillet 2010, parce que les pièces justificatives des transactions auraient été détruites.
M Choquette a réussi à prouver que ces sommes remises à l'ex-avocate étaient des avances de fonds, et l'ex-avocat a été reconnu coupable par les membres du Conseil de discipline pour avoir omis de fournir les factures à son client. (décision rendue le 28 avril 2022).
Qui est l'ex-avocate ? : elle a été reconnue coupable au criminel à trois reprises
1* 2010 / capacité de conduite affaiblie, défaut d'arrêter lors d'un accident, n'ayant pas porté assistance lors de son accident 252-1b (amende et frais 1,500.00$ suspension de permis de conduire)
2* 2011 / capacité de conduite affaiblie, conduite dangereuse (1000.00$ d'amende et probation de 1 an sans surveillance) (peine infligée, 60 jours de prisons discontinues)
3* 2017 / voies de fait contre deux agents de la paix (45 jours prison discontinue. absolution conditionnelle et 100 heures travaux communautaires, probation sous surveillance 1 an)
(absolution conditionnelle est semblable à une absolution inconditionnelle parce qu'un verdict de culpabilité est rendu, mais aucune condamnation n'est inscrite)
Le Barreau du Québec a radié l’avocate en 2012, soit le 8 novembre pour soi-disant ne pas avoir payé ses cotisations syndicales, mais ici, il n’est question d’aucune mention qu’en 2010, 2011 ayant été arrêté et reconnu coupable par la suite au criminel, la décision du Barreau ne porte aucunement sur ses accusations criminelles. Pourrions-nous ici suggérer que le but était de cacher la vraie nature de sa radiation ?
L'histoire de M Choquette
Le dossier a débuté devant la Cour en juin 2009 à propos de la garde de son enfant, Ex-Me Elaine Leroux faisait des remises par-dessus des remises, en tout c'est pas moins de 20 comparutions et +. Peu après les procédures du plaignant, Me Elaine Leroux a été arrêté pour un acte criminel (capacité de conduite affaiblie, défaut d'arrêter lors d'un accident, n'ayant pas porté assistance lors de son accident 252-1b) le 20 juillet 2010, soit 13 jours précisément après la comparution de son client le 7 juillet 2010.
En 2005, M Choquette à appris par un teste de paternité qu'il était le père d'un petit garçon de 4 ans, suite à la demande de son ex-conjointe celui-ci a été dans l'obligation de payer une pension alimentaire. En 2006 l'ex-conjointe décide de quitter le Québec avec son fils pour la Belgique pour travailler avec les Casques bleus.
En 2008, son ex-conjointe décède, et c'est à partir de ce moment que les problèmes commencent avec la grand-mère maternelle.
En 2008, la grand-mère demande à M Choquette la garde temporaire de son fils, l'entente stipulait devant la Cour qu'il reprendrait la garde après une courte période d'une année de transition à cause du temps passé sans la présence du père en Belgique.
Après l'année scolaire de son fils en 2009, toujours avec la grand-mère M Choquette obtient la garde légale de son fils. Suite au retour chez papa, la grand-mère exigeait de le voir une fin de semaine sur deux, mais le juge en décidait autrement puisqu'elle n'était pas la mère, il lui accordait seulement un samedi à dimanche , une fois par mois.
La grand-mère ne respectait presque jamais les conditions du jugement, les heures étaient difficiles, la plupart du temps en dehors des droits d'accès et elle se présentait à l'école pour voir son fils, pour lui faire des sous-entendus et le perturber, pour lui dire qu'elle irait vivre ailleurs, etc.
Suite au conflit de loyauté, M Choquette a été obligé de prendre les grands moyens et présenter une demande à la Cour pour restreigne les droit d'accès à l'école de son fils, car même la direction de l'école en avait assez des visites de la grand-mère.
Jugement :
M Choquette avait demandé que les visites soient faites dans organisme (Le Petit Pont) le but de ne plus avoir à fréquenter la grand-mère, le juge à pris une autre décision, que le père n'aurait pas besoin de fréquenter la grand-mère, qu'il y aurait des échanges de l'enfant dans un stationnement du resto McDo près de chez lui.
Lors de l'audition devant le juge, le grand-père à témoigné pour dire, quand l'enfant était chez la grand-mère, celle-ci le faisait garder chez une amie, qui elle avait un garçon et il lui faisait des attouchements sexuels.
M Choquette avait perdu toute confiance envers la grand-mère, à cause des déclarations-choc du grand-père et d'autres témoins devant le juge. Il décidait suite aux recommandations de son avocate EX-Me Élaine Leroux, elle lui conseillait vivement de ne plus laisser son garçon en présence de la grand-mère, et le répéta plusieurs fois en présence de témoins, elle disait : qu'aucun juge ne pourrait lui enlever la garde de son fils, car il ne cherchait qu'à le protéger.
M Choquette décide de prendre conseil de son ex- avocate et de ne pas se présenter lors des rencontres (échanges) au McDo, comme c'était écrit dans le jugement, mais mal heureusement il était en outrage au tribunal, sans connaitre, dit-il les conséquences, puisqu'elle le conseillait d'agir ainsi.
À la suite au jugement du 14 avril 2010, du témoignage troublant du grand-père, face aux attouchements sexuels qui était fait sur son fils, ex-Me Élaine Leroux l'encourage fortement de faire un signalement à la DPJ, ce qu'il fait le16 avril 2010.
Il allègue que son ex-avocate ne lui aurait jamais dit qu'il risquait jusqu'à un an de prison à défier le jugement.
Le signalement a été retenu, mais l'enquête n'a pas permis de mettre la faute sur la grand-mère, car selon les dire la de l'intervenant Mme Nancy St-Onge, il est tout à fait normal d'avoir entre enfants des relations sexuelles.
L'ex-avocate devait faire témoigner l'intervenante de la DPJ, ce qu'elle n'a pas fait, même après les demandes répétées M Choquette, celui ne comprenait pas, que le dossier était plutôt contre lui, on disait qu'il faisait d’aliénation parentale.(se décrit comme un phénomène dans lequel un des parents se livre à des comportements aliénants, influençant l'esprit de l'enfant afin de favoriser chez lui le rejet injustifié et la désaffection à l'égard de l'autre parent. )
Suite au non-respect (outrage au tribunal) M Choquette n'a pas eu le choix que de respecter un jugement qui donnait le droit de visite à la grand-mère, le juge lui accordait une semaine de vacances avec l'enfant pour recréer les liens qui ont été perdus.
L'altercation
À la première visite au McDo, la grand-mère était en retard, une fois son garçon à bord du véhicule de son père accompagné de sa conjointe, il quitte en premier le stationnement en direction de sa demeure. À la sortie du stationnement, aux feux de circulation, la grand-mère aurait tenté d'avoir une conversation avec M Choquette en se plaçant dans la voie à ses côtés, celui-ci allègue qu'elle criait des bêtises d'une façon agressive , M Choquette dit l'avoir ignoré, car il était clair pour lui qu'elle cherchait la provocation, de retour à la maison, elle lui aurait téléphoner à + de 4 reprises.
L'enfant aurait répondu à la grand-mère de ne plus rappeler.
En soirée la grand-mère se présente au poste de police, pour dire que M Choquette aurait eu une conduite dangereuse.
La grand-mère a demandé au tribunal de retirer l'enfant sans aucun droit de contact à la suite des supposés gestes de M Choquette. Le tribunal accepté cette suggestion pour le temps du procès. Celui-ci a perdu la garde en septembre 2010.
En 2011, le procureur laisse tomber les accusations de conduite dangereuse, la grand-mère avait déclaré que M Choquette avait une voiture de marque Éclipse deux portes, de couleur grise, quand celui-ci avait une Acura 4 portes familiale, la preuve a été fournie par la caméra du McDo demandé par M Choquette.
Quand M Choquette à fournie la vidéo à la Cour prouvant que ce n'était pas sa voiture, la grand-mère à recontacté l'enquêteur au dossier pour changer sa version des faits, comme quoi M Choquette avait maintenant une Acura familiale. La police lui a fait parvenir une nouvelle contravention.
À la suite à cette mauvaise déclaration faite devant le juge concernant le véhicule utilisé, le procureur a laissé tomber les accusations de conduite dangereuse.
La contravention qui a été faite par Marc-André policier municipal de Richelieu Saint-Laurent. La contravention a été modifiée suite à l'appel téléphonique de la grand-mère. Le véhicule qui apparaissait sur le billet n'était plus le même. Le policier qui avait rédigé la contravention et qui avait coché dans la case (j'ai personnellement constaté les faits) OUI (disait qu'il était présent sur la scène de la conduite dangereuse) avait retiré j'ai personnellement constaté les faits.
Première contravention
Contravention qui a été modifier dû à l'appelle de la grand-mère disant qu'elle s'était trompée!
La contravention a été annulée ainsi que l'accusation de conduite dangereuse. Mais le mal avait été fait, la grand-mère a eu gain de cause à la suite de cette fausse accusation bien avant que les accusations de conduite dangereuse tombent.
M Choquette avait comme avocate, une collègue du bureau de Me Jean-Pierre Rancourt, elle n'a pas laisser trainer ça! elle a constater la mauvaise foi de la grand-mère très rapidement.
La déclaration des faits selon la Grand-Mère
La grand-mère dit qu'elle a peur dès le début dans sa déclaration, elle ne veut pas croiser les yeux de M Choquette, car il semblait agressif, avec un regard menaçant,, elle dit qu'elle a peur, sauf que sur la route, quand M Choquette l'aurait dépassé et elle aurait freiner brusquement pour éviter le contact, elle dit aussi qu'elle veut éviter toute confrontation. Elle dit qu'après avoir freiné brusquement, elle se tasse de deux voies et continue sa route.
Elle dit avoir baissé sa vitre et crie «respect pour le petit, respect pour le petit»
Un peu plus tard celle-ci aurait téléphoné son conjoint pour lui raconter ce qui s'était produit avec M Choquette.
Selon Mme Raymond (la grand-mère) semble avoir une peur, une peur bleue de M Choquette : dans le stationnement du McDo, elle dit vouloir éviter la confrontation, elle dit «il a un regard furieux» que l'enfant semble effrayé, peur des représailles, a aucun moment elle dit regarder M Choquette, car elle a peur qu'il l'injure, elle voulait éviter la chicane.
Dans le rapport, c'est écrit que le véhicule de M Choquette quitte avant celui de la grand-mère,il y a à peine 50 pieds de distance entre la sortie du McDo et le feu de circulation, selon Mme Raymond elle suivait derrière et il aurait eu le temps de la couper.
Une question : comment aurait-il eu le temps de couper et pourquoi si c'est le cas, elle le suivait d'aussi près, disant dans sa déclaration qu'elle avait peur de lui!
Alors que M Choquette était immobilisé un feu de circulation, la grand-mère se place à la même hauteur,,,, elle aurait baissé sa vitre pour crier des bêtises et ainsi que ces mots «respect pour le petit, respect pour le petit».
Pour une femme qui dit avoir peur de M Choquette, celle-ci c'est quand même arrêter à ses côtés pour lui crier quelque chose! bref ce qui ne correspond pas à une personne qui avait peur, mais plutôt à une personne qui était fâché.
Aucun juge ne pourrait lui enlever son fils
M Choquette allègue que son avocate l'aurait trompé en lui disant que s'il empêchait les droits d’accès de la grand-mère maternelle, aucun juge ne pourrait lui enlever son fils puisqu'il était le père et ne voulait que le protéger. Même que la mère de M Choquette qui à témoigné au Barreau à mentionné que l'ex-avocate lui avait dit, lorsqu'elle lui à poser la question «mon fils ne risque-t-il des problèmes s'il va contre l'ordonnance du juge? » l'ex-avocate lui aurait alors répondu «vous savez, il y a des acceptions».
De plus lors d'une comparution, l'ex-avocate devait détenir un papier de l'employeur de M Choquette spécifiant que celui-ci ne pouvait pas se présenter à cause de son travail qui était important ce jour là. ( il aurait perdu son emploi).
Lors de la comparution M Choquette était absent, l'avocate devait le représenter, mais celle-ci n'avait pas le document justifiant son absence. Il allègue que son avocate a menti devant la juge. Ce qui lui à causé un tord irréparable auprès de la juge, il n'était plus crédible, sa réputation venait d’être entachée.
Malgré le fait que ce papier existait bel et bien puisse que la collègue de l'ex-avocate l'avait en main, la juge en a pris connaissance, mais cela n'as rien donné, puisque l'ex-avocate avait dit à la Cour que M Choquette avait décidé d'aller quand même au travail. Pourtant l'ex-avocate savait qu'il ne pouvait venir, mais la question à se poser : comme avocate n'était-elle pas obligée de dire à M Choquette qu'il ne pouvait pas s'absenter, c'était 2 outrages et à refusé 22 reprises les visites de la grand-mère.
Le 5 juillet 2010, M Choquette à remis à l'ex-avocate accompagnée de sa conjointe la lettre de son employeur pour motiver son absence au tribunal, ainsi qu'une somme de 2, 000.00$ en argent comptant à Élaine Leroux. M Choquette allègue qu'elle lui aurait dit : «inquiète-toi pas, tu as une lettre de motivation, je m'occupe de tout!
Paiement :
la facture retrouvée par le Syndic.
Voici l'exemple parfait sur le Barreau du Québec qui ferme les yeux en donne plus de crédibilité à cette ex-avocate qui ment!
20 comparutions, pour une facture de 2,336.00$, sur les 20 comparutions, deux comparutions qui ce son terminés à 17h30, une facture qui ne fait absolument aucun sens! sans parler des rendez-vous au bureau, des appels téléphoniques, des échanges de courriels, etc. durant une année complète.
Encore plus étrange, l'ex-avocate aurait été radiée du Barreau pour non-paiement de sa cotisation syndicale, mais aucunement liée aux actes criminels.
Le 24 avril 2021 M Choquette demande au Barreau de produire en preuve un document attestant qu’il ne possède pas d’antécédents criminels et le syndic refuse sur la base des deux motifs, à savoir qu’il s’agit d’une preuve de bonne réputation et en raison de l’absence de pertinence.
On pourrait fait l'exercice contraire, tenter de produire une preuve que l'avocate est retrouvée coupable à trois reprises aux criminelles,, mais non, il s'agit d'une preuve de mauvaise réputation et l'absence de la pertinence.
Mais oui, ça fonctionne dans les deux CAS!
Le 29 novembre 2021, M Patrick Choquette, demande la réouverture de l’enquête pour produire deux jugements de tribunaux civils, de la littérature médicale traitant de l’anémie, des plumitifs de dossiers criminels et deux articles de médias électroniques. L'ex-avocate s’oppose à la réouverture de l’enquête et à la production de ces documents.
Le Barreau accueille l’objection de l'avocate à la production de plumitifs dans trois dossiers où elle fait l’objet d’accusations et de condamnations criminelles. M Choquette demande à Mme Leroux s’il est vrai qu’elle s’est fait arrêter 13 jours après sa sentence. L'avocate présente une nouvelle objection au motif qu’il tente de faire une preuve de mauvaise réputation. L’objection est accueillie par les membres du Syndic.
De toute façon toutes les fois que M Choquette à tenter de faire la preuve de la mauvaise foi de l'ex-avocate, celle-ci s'est opposée et les membres du syndic ont accepté. Il faut dire que maintenant tout n'est pas fini pour M Choquette, il est toujours en procédure devant le tribunal du Barreau avec l'ex-avocate.
M Choquette aujourd'hui demande une enquête publique indépendante sur les agissements des membres du syndic pour avoir tenté de s'immiscer dans sa cause personnelle, il demande une réouverture d'enquête sur son dossier complet, que cette enquête soit débattue devant public et non sur le web.
M Choqueete à fait parvenir deux courriels au ministre de la Justice Simon-Jolin Barrette, le 6 octobre 2022 et un autre le 14 octobre en copie conforme aux membres du Conseil de Discipline, à ce jour il n'a reçu aucune réponse.
Depuis il se promène partout avec ses affiches pour dénoncer les injustices et préjudices à son endroit.
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