Eh oui, comme à l’habitude La Presse -OBNL , Radio-Canada, Les Soleil, tous les journaux, médias, disons ex-Patron Matin Cauchon et Le Devoir depuis diriger par le sympathique Brian Myles, désinforment à plein tube.
Dernièrement on a appris que l’ex-patron du Groupe Capitales Medias, Cauchon et ancien ministre libéral, « qui porte bien son nom » pourquoi démissionner , avait-il senti la soupe chaude parce que les journalistes du Journal de Montréal avaient obtenu des documents de l’accès à l’information, selon lesquelles, il s’était payé un salaire de 500,000$ dollars chaque année, durant 4 ans et ne voulait ne pas y être confronté .
On parle ici, de 2 millions de dollars en salaire, même si ce média n’était absolument pas rentable, « qui plus même après avoir obtenu un financement de 10 000 000 millions en 2017 pour l’aider supposément à négocier son virage vers le numérique , Cauchon n’a absolument rien changé, il a toujours gardé le même modèle d’affaires, aucune transformation. Les dettes accumulées étaient de l’ordre de plus de 27 millions que cette entreprise devait à ses créanciers.
Qui a permis à Martin Cauchon de se payer un salaire de 500 000 $, la sympathique et intelligente ministre de l’Économie, de la Science et de l’Innovation et ministre responsable de la Stratégie numérique, Dominique Anglade. Mais comme ministre n'avait-elle pas des responsabilités et de surveiller l'ensemble des opérations du Groupe Capitales Médias ?
Elle sert à quoi au juste cette ministre, elle remet l'argent des Québécois durement gagné et elle s'en lave les mains, j'ai fait mon travail ( si vous pensez, vous qui lisez ce paragraphe, que ça se passe de cette façon, vous êtes bien naïf! parce que derrière, le gouvernement , les politiciens savent exactement comment ça se passe, ce n’est vraiment pas compliqué, Anglade, n'a pas décidé ça d'elle même, on là poussé dans l'dos, tous les grands noms du Québec inc., lui ont fait comprendre qu'ils vont avoir sa peau si rien n'est fait.
En 2017, Martin Cauchon disait «Cela ne signifie pas que le papier va disparaitre, après une rencontre dans l’imprimerie du Progrès du Saguenay» mais ce n'est pas simplement le papier qui voulait faire disparaitre, mais aussi les pensions, le salaire et le nombre d'employés qui à laissé entendre lors de la première rencontre avec les employés et les syndicalistes au Saguenay, de source sure, voilà ses paroles lors d'une rencontre «Je dois faire vivre ma famille, je dois mettre du pain et du beurre sur ma table» évidement avec 500 000 $ par année du beurre il en avait pour les fous et les fins.
Dominique Anglade «Nous nous sommes demandé si les citoyens du Saguenay-Lac-Saint-Jean étaient mieux servis d’avoir Le Quotidien que de ne pas l’avoir, et nous avons conclu que c’était préférable.» Préférable pourquoi au juste ?, pour l'unique raison qu'il fallait continuer avec la ligne éditorialiste fédéraliste. Gageons que si ça avait été Le Journal de Montréal, la clé aurait été dans porte depuis longtemps.
Aujourd'hui les médias ont compris que s'ils veulent survivre, on doit marcher comme des petits soldats au garde-à-vous, bien concentrer sur ce que les gouvernements vont leur dire de faire, toujours bien sûr avec des menaces de couper toutes subventions.
Parce qu’entre vous et moi, nous avons PKP un chef du PQ, qui à gouté à la médecine du gouvernement libéral Québec, les fameuses raisons de son départ, la famille avant tout! oui, oui, non, désolé, ce n'est pas comme ça que ça s'est passé.
Évidement, il n'y a plus rien qui existe démocratiquement parlant à l'intérieur de nos médias, même qu'il faudrait employé une autre appellation que journaliste ou médias, car deux noms qui semble ne plus appartenir à la Charte d'éthique professionnelle des journalistes.
Les médias vivent des fakes news, ils sont rendus à dénoncer les médias indépendants qui publient des articles qui font de l'ombre sur leurs nouvelles.
Les Manchettes à eu le droit d'être dénoncé à Google Adsense par La Presse canadienne et son journaliste Stéphane Blais, tout ça avait été organisé avec un journaliste de La Presse.
Le seul "média"au Québec qui a sorti cette nouvelle, c’est le Journal de Montréal, qui disons-le quand même, si ça n'avait pas été de la mauvaise relation avec La Presse, la petite guerre guerre de Pierre-Karl Péladeau, on n’aurait sans doute jamais rien appris de cette histoire, du Cauchon mal engraissé. Tous les médias auraient dû sortir cette nouvelle et l’acculer au pied du mur, le dénoncer haut et fort.
On à appris que dernièrement que le groupe Quebecor voulait acheter Groupe Capitales médias, la barrière pour l'acquérir a été fermé rapidement par le gouvernement qui était maintenant prêt à aidé GCM, même que nous avons eu droit à la sortie de Québec Solidaire qui était contre l'idée. Mme Dorion à fait ses slapettes en disant que la ligne éditorialiste serait changer pour appuyer la souveraineté, un autre exemple pour vous démontrer que Québec Solidaire n'est pas ce qu'il prétend être, surtout juste à penser au loup dans la bergerie, Vincent Marissal.
Si l'on porte attention à celui qui dirige maintenant le Groupe Capital Medias, qui est l’ex-bras droit de Martin Cauchon, qui lui sans aucune gêne, préfère ne pas commenter. Mais au fond, c’est pour la simple raison, qu'il savait tout et fait partie de Power Corporation.
C’était quoi exactement le but de la famille Desmarais de se débarrasser du Groupe Capitales Medias? On peut penser à divers scénarios, on peut faire de la spéculation , est-ce que ça été organisé, est-ce Martin Cauchon a été utilisé à son bon vouloir pour servir la famille Desmarais, rendre service à Power Corporation.
Il est clair que Martin Cauchon a décidé de quitter le navire avant qu’il coule, il est aussi clair, qu'il ne voulait rien changer de GCM, son but comme ex-ministre libéral du Canada, c'était seulement de servir la cause des fédéralistes, il a toujours été marqué au fer rouge.
Comme il y a eu deux ententes de passés entre La Presse , Groupe Capital Medias et Radio-Canada ( est-ce que cette entente tien toujours, vu que LP est maintenant OBNL, il serait intéressant de lires les clauses de ce contrat qui a été signé par la famille Desmarais).
Sans être en mesure de savoir ce qui se trouve à l'intérieur de ces ententes, on peut conclure qu'une des clauses, partager l'information sans se piler sur les pieds, qui est-ce qui est sorti le premier pour dire, qu’il faut sauver à tout prix le Groupe Capital Medias, sans surprise Radio-Canada et par la suite La Presse. (Ce n'est pas pour rien que l'on retrouve les journalistes de La Presse à Radio-Canada, on peut penser à Boivers, Lessard, Cardinal les bons et loyaux valets de Power.
Radio-Canada
La Presse
Mais quand est-il exactement de Martin Cauchon que se sauve avec un salaire de 2 000 000, quand est-il des publication de l'information, pourquoi La Presse, Radio-Canada, Le Devoir ne nous a jamais informé ?
En date du 6 décembre on ne retrouve absolument rien sur Martin Cauchon à La Presse - OBNL Fédéraliste, Radio-Canada Fédéraliste et le petit nouveau Le Devoir Fédéraliste.
Dernière nouvelle de La Presse à propos de Martin Cauchon, le 7 novembre 2019.
Dernière nouvelle de Radio-Canada à propos de Martin Cauchon, le 30 novembre 2019.
Dernière nouvelle de Radio-Canada à propos de Martin Cauchon, le 3 décembre 2019.
Rien de Martin Cauchon, qui s'est sauvé comme un voleur et après on nous fera croire que les médias sont pour le peuple et surtout ne désinforment pas. Vous en avez la preuve, les médias sont les ennemis du peuple.
On a eu droit au sauvetage du Groupe Capitale Médias, par les médias, tenez-vous bien, le prochain sauvetage sera en faveur de Publi-Sac, TC Transcontinental pourquoi exactement, parce que derrière on à la famille Marcoux fédéraliste qui fait la pluie et le beau temps dans le Québec Inc. les relations d'affaires, les conseils d'administration, tous est fait en conséquence de protéger les objectifs fédéralistes,, mais ça inquiétez-vous pas, les médias ne vous en parleront pas.
André Desmarais, Power Corporation, Isabelle Marcoux, présidente du conseil de Transcontinental, Monique F. Leroux, présidente du conseil et chef de la direction du Mouvement des caisses Desjardins et France Chrétien-Desmarais.
Alors que l’imprimeur Transcontinental cherche à récupérer près d’un million $ que lui doit le Groupe Capitales Médias, Pierre Fitzgibbon a rencontré les hauts dirigeants de l’entreprise. Son agenda révèle que cette réunion a eu lieu le 16 août dernier à Montréal, au même moment où le gouvernement cherchait des solutions pour sauver le groupe de presse.
Depuis qu’il est devenu ministre de l’Économie, ce ministre s’est montré généreux à l’égard de l’entreprise dont il a été administrateur. En avril dernier, il accordait une aide financière de 9,5 millions $ à Transcontinental pour convertir l’ancienne imprimerie du quotidien La Presse en usine d’emballage.
Bref, je vous reviens avec la suite, de TC Transcontinental.
La question qui serait très intéressante à poser à Martin Cauchon « est-ce que vous avez attendu le prêt de 5 millions du gouvernement du Québec pour vous sauvé avec votre dernier salaire de 500 000$ ?»