Ben, ça l’air que Donald Trump aurait dit de s'injecter du Lysol (désinfectant) selon la totalité des médias, journalistes de gauches subventionnés par notre fanfaron ministre Justin Trudeau.
Mais ce qui est intéressant avec le sarcasme à Trump, c'est qu'il n'avait pas si tort, la dernière fois il avait dit que la chaleur viendrait à bout du Coronavirus. Est-ce que c'était du sarcasme ? En fait, ce n'était peut-être pas du sarcasme, mais encore les médias ont tenté de le ridiculisé , pourtant on vient juste de nous annoncer dans tous les médias et de faire la preuve que la chaleur tue le Covid-19, Ben oui et c'est les mêmes médias traditionnels qui traitaient Trump d'idiot.
Revenons donc au bon shoot de Lysol, tous les médias ont ridiculisé Trump. Les médias ont sorti en grande pompe pour soi-disant sensibiliser la population à ne pas tenter de s'injecter ou même de boire du Lysol ou tout autre produit désinfectant, même que la l'entreprise Lysol est entrée dans le jeu de la petite gauche en avertissant le danger de le faire (c'était simplement l'occasion pour se faire une bonne pub).
En fait, ce que Trump à dit : s’il y a des désinfectants qui tuent le virus en quelques minutes, aurait-il moyen de faire quelque chose, comme exemple, par injection à l'intérieur ou quelque chose comme un nettoyage. Parce que ce virus pénètre dans les poumons et endommage les poumons, ça serait peut-être quelque chose d'intéressant à vérifier.
Des propos qui ont été jugés « dangereux par tous les médias, les spécialistes et les médecins », il a simplement poser des questions, comme toute personne normale qui se pose des questions et si j'étais préoccupé à cherche des solutions, j'aurais surement posé la même question.
Ces déclarations ont consterné la communauté scientifique, et de nombreux spécialistes ont accusé le président américain d'être irresponsable en faisant cette suggestion dangereuse. Trump savait-il quelque chose à propos de ces vaccins qui contiennent des produits utilisés dans presque tous les désinfectants.
La consommation ou l'injection de désinfectant risque d'empoisonner et même de tuer, il est très peu probable qu'il soit efficace. Je veux bien croire, mais voici quelques ingrédients médicamenteux que l'on retrouve dans les vaccins.
- Thimerosal : agents de nettoyage, désinfectants,
- Formaldéhyde : agents de nettoyage, désinfectants = Comet, Fab Ultra,
- L'hypochlorite de sodium : agents de nettoyage, désinfectants
- Glutaraldéhyde : agents de nettoyage, désinfectants
- 2-phénoxyéthanol : agents de nettoyage, désinfectants = Mr Clean, Easy-Off
- Polydimethylsiloxane : Static Guard,
- octylphenol ethoxylate (Triton X-100) : Le Triton X-100 est un détergent de synthèse de formule brute. Il est utilisé notamment pour le nettoyage des matériaux fragiles et agit comme agent de décrassage de surface (métal, bois, etc).
La question qu'on est en droit de se poser, est-ce qu'on nous cache quelque chose avec les désinfectants ?
Voici maintenant mon moment préféré, je vais tenter de démystifier tout ça! tenter de faire la preuve que les vaccins contiennent des ingrédients qui sont dangereux et qui se retrouvent aussi dans nos désinfectants à la maison, comme, le Lysol, Ajax. Donc les vaccins seraient dangereux, pour ma part je pense qu'ils sont extrêmement dangereux et que ça ne profite qu'aux Big Farma. J’irais beaucoup plus loin, ils sont la cause de plusieurs maladies, mais aussi les maladies dites rares = Maladies orphelines.
Est-ce que les vaccins sont dangereux ? Voici une liste qui contient de nombreux vaccins.
Résumé des excipients de vaccins Excipients inclus dans les vaccins américains, par vaccin
Ceux-ci peuvent inclure: Matériaux de culture cellulaire, utilisés pour cultiver les antigènes vaccinaux. Par exemple, la protéine d'oeuf, divers milieux de culture. Ingrédients inactivants, utilisés pour tuer les virus ou inactiver les toxines. Par exemple, le formaldéhyde.Antibiotiques, utilisés pour empêcher la contamination par des bactéries. Par exemple, la néomycine.
Le tableau suivant répertorie les substances, autres que les ingrédients actifs (c'est-à-dire les antigènes), indiquées dans la notice du fabricant (Pl) comme contenues dans la formulation finale de chaque vaccin.
Vaccine |
Date |
Contient |
Adenovirus |
10/2019 |
(5) monosodium glutamate, sucrose, D-mannose, D-fructose, dextrose, human serum albumin, potassium phosphate, (6) plasdone C, anhydrous lactose, (9) microcrystalline cellulose, (10) polacrilin potassium, (11) magnesium stearate, (8)cellulose acetate phthalate, alcohol, (12) acetone, castor oil, (13) FD&C Yellow #6 (14) aluminum lake dye |
Anthrax (Biothrax) |
11/2015 |
(14) aluminum hydroxide, sodium chloride, benzethonium chloride, formaldehvde (Le benzéthonium est un sel d'ammonium quaternaire synthétique doté de propriétés tensioactives, antiseptiques et antimicrobiennes à large spectre.) |
BCG (Tice) |
2/2009 |
glycerin, asparagine, citric acid, potassium phosphate, magnesium sulfate, iron (3)ammonium citrate, lactose |
Choiera (Vaxchora) |
6/2016 |
ascorbic acid, hydrolyzed casein, sodium chloride, sucrose, dried lactose, sodium bicarbonate, sodium carbonate |
Dengue (Dengvaxia) |
6/2019 |
sodium chloride, essential amino acids (including L-phenylalanine ), non-essential amino acids, L-arginine hydrochloride, sucrose, D-trehalose dihydrate, D-sorbitol, |
DT (Sanofi) |
6/2018 |
(14) aluminum phosphate, isotonie sodium chloride, (16) formaldehvde |
DTaP (Daptacel) |
12/2018 |
(14) aluminum phosphate, formaldéhyde, (1)glutaraldehyde, (2)2-phenoxvethanol |
DTaP (Infanrix) |
12/2018 |
(16) forrnaldehyde, (14) aluminum hydroxide, sodium chloride, (21) polvsorbate 80 (Tween 80) |
DTaP-IPV (Kinrix) |
12/2018 |
(16) Formaldehyde, (14) aluminum hydroxide, sodium chloride, (21) polysorbate 80 (Tween 80), |
DTaP-IPV (Quadracel) |
1/2019 |
(16) formaldehyde, (14) aluminum phosphate, (2)2-phenoxyethanol, (21) polysorbate 80, (1)glutaraldehyde, neomycin, polvmvxin B sulfate, (18) bovine serum albumin |
DTaP-HepB-IPV |
2/2020* |
(16) forrnaldehyde, aluminum hydroxide, sodium chloride, (21) polvsorbate 80 (Tween 80) |
(Pediarix) |
(16) formaldehyde, (14) aluminum hydroxide, aluminum phosphate, sodium chloride, nolvsorbate 80 (Tween 80), neomvcin sulfate, nolvrnvxin B, veast protein |
|
DTaP-IPV/Hib (Pentacel) |
1/2019 |
(14) aluminum phosphate, (21) polysorbate 80, sucrose, (16) formaldehyde, (1)glutaraldehyde, (18) bovine serum albumin, (2)2-phenoxyethanol, neomycin, polymyxin B sulfate |
DTaP-IPV-Hib-HepB (Vaxelis) |
12/2018 |
(21) polysorbate 80, (16) formaldehyde, (1)glutaraldehyde, (18) bovine serum albumin, neomycin, (20) streptomycin sulfate, polymyxin B sulfate, (3)ammonium thiocyanate, yeast protein, |
Ebola Zaire (ERVEBO) |
2/2020* |
Tromethamine rice-derived recombinant (22) human serum albumin, host cell DNA benzonase, rice protein |
Hib (ActHIB) |
5/2019 |
sodium chloride, (16) forrnaldehyde, sucrose |
Hib (Hiberix) |
4/2018 |
(16) formaldehyde, sodium chloride, lactose |
Vaccine |
Date |
Contains |
Hib (PedvaxHIB) |
10/2018 |
amorphous (14) aluminum hvdroxvphosphate sulfate, sodium chloride |
Hep A (Havrix) |
2/2020* |
(28) MRC-5 cellular proteins, formalin, (14) aluminum hydroxide, amino acid supplement, phosphate-buffered saline solution, (21) polysorbate 20, neomycin sulfate, (19) aminoglycoside antibiotic |
Hep A (Vaqta) |
12/2018 |
amorphous (14) aluminum hydroxyphosphate sulfate, non-viral protein, DNA, (18) bovine albumin, (16) formaldehyde, neomycin, sodium borate, sodium chloride, other process chemical residuals |
Hep B (Engerix-B) |
2/2020* |
(14) aluminum hydroxide, yeast protein, sodium chloride, disodium phosphate, dihydrate, sodium dihvdrozen phosphate dihvdrate |
Hep B (Recombivax) |
12/2018 |
(16) formaldehyde, potassium (14) aluminum sulfate, amorphous aluminum hydroxyphosphate sulfate, yeast protein |
Hep B (Heplisav-B) |
2017 |
yeast protein, yeast DNA, deoxycholate, phosphorothioate linked oligodeoxynucleotide, sodium phosphate, dibasic dodecahydrate, sodium chloride, monobasic dehydrate, (21) polysorbate 80 |
Hep A/Hep B (Twinrix) |
2/2020* |
(28) MRC-5 cellular proteins, formalin, (14) aluminum phosphate, aluminum hydroxide, amino acids, sodium chloride, phosphate buffer, (21) polysorbate 20, neomycin sulfate, yeast protein, water |
Human Papillomavirus, (HPV) (Gardasil 9) |
10/2018 |
amorphous (14) aluminum hydroxyphosphate sulfate, sodium chloride, L-histidine, (21) polysorbate 80, sodium borate, yeast protein |
Influenza (Afluria) Quadrivalent |
12/2019 |
sodium chloride, monobasic sodium phosphate, dibasic sodium phosphate, monobasic potassium phosphate, potassium chloride, calcium chloride, sodium taurodeoxycholate, ovalbumin, sucrase, neomycin sulfate, polymyxin B, beta- |
Influenza (Fluad) |
4/2019 |
squalene, (21) polysorbate 80, sorbitan trioleate, sodium citrate dehydrate, citric acid monohydrate, neomycin, kanamycin, (23) barium, hydrocortisone, egg proteins, cetyltrimethyl (3)ammonium bromide (CTAB), (16) formaldehyde |
Influenza (Fluarix) Quadrivalent |
©2019 |
(26) octoxynol-10 (TRITON X-100), a-tocopheryl hydrogen succinate, (21) polysorbate 80 (Tween 80), hydrocortisone, gentamicin sulfate, ovalbumin, (16) formaldehyde, sodium |
Influenza (Flublok) Quadrivalent |
4/2019 |
sodium chloride, monobasic sodium phosphate, dibasic sodium phosphate, (21) polysorbate 20 (Tween 20), baculovirus and Spodoptera frugiperda cell proteins, baculovirus and cellular DNA, (26) Triton X-100 |
Influenza (Flucelvax) Quadrivalent |
8/2019 |
Madin Darby Canine Kidney (MDCK) cell protein, phosphate buffered saline, protein other than HA, MDCK cell DNA, (21) polysorbate 80, cetyltrimethly(3)ammonium bromide, and (27) 13-propiolactone, (15) Thimerosal (multi-dose vials) |
Influenza (Flulaval) Ouadrivalent |
2/2020* |
ovalbumin, (16) formaldehyde, sodium deoxycholate, u-tocopheryl hydrogen succinate, nolvsorbate 80, (15) thimerosal (multi-dose vials), nhosphate-buffered saline solution |
Influenza (Fluzone) Quadrivalent |
2019 |
(16) formaldehyde, egg protein, (26) octylphenol ethoxylate (Triton X-100), sodium phosphate-buffered isotonie sodium chloride solution, (15) thimerosal (multi-dose vials) |
Influenza (Fluzone) Hizh Dose |
1/2019 |
egg protein, octylphenol ethoxylate (Triton X-100), sodium phosphate-buffered isotonie sodium chloride solution, (16) formaldehvde |
Influenza (FluMist) Quadrivalent |
8/2019 |
(5) monosodium glutamate, hydrolyzed porcine gelatin, arginine, sucrase, dibasic potassium phosphate, monobasic potassium phosphate, ovalbumin, gentamicin sulfate, (17) ethylenediaminetetraacetic acid (EDTA) |
Japanese Encephalitis (Ixiaro) |
9/2018 |
aluminum hydroxide, protamine sulfate, (16) formaldehyde, (18) bovine serum albumin, |
Meningococcal (MenACWY-Menactra) |
4/26/18 |
sodium phosphate-buffered isotonie sodium chloride solution, (16) formaldehyde, diphtheria toxoid |
Meningococcal (MenACWY-Menveo) |
2/2020* |
(16) formaldehyde, CRM197 protein |
Meningococcal (MenB - Bexsero) |
2/2020* |
(14) aluminum hydroxide, sodium chloride, histidine, sucrase, kanamycin |
Meningococcal (MenB -Trumenba) |
2018 |
(21) polysorbate 80, (14) aluminum phosphate, histidine buffered saline |
Vaccine |
Date |
Contient |
MMR (MMR-II) |
2/2020* |
vitamins, amino acids, fetal bovine serum, sucrose, glutamate, recombinant (22) human albumin, neomycin, sorbitol, hydrolyzed gelatin, sodium phosphate, sodium chloride, WI-38 human diploid Jung fibroblasts |
MMRV (ProQuad)(Frozen: Recombinant, Albumin) |
2/2020* |
(28) MRC-5 cells including DNA and protein, sucrose, hydrolyzed gelatin, sodium chloride, sorbitol, (5) monosodium L-glutamate, sodium phosphate dibasic, recombinant (22) human albumin, sodium bicarbonate, potassium phosphate monobasic, potassium chloride; potassium phosphate dibasic, neomycin, (24) bovine calf serum |
MMRV (ProQuad)(Frozen: Human Serum Albumin) |
2/2020* |
(28) MRC-5 cells including DNA and protein, sucrose, hydrolyzed gelatin, sodium chloride, sorbitol, (5) monosodium L-glutamate, sodium phosphate dibasic, (22) human albumin, sodium bicarbonate, potassium phosphate monobasic, potassium chloride; potassium phosphate dibasic, neomycin, (24) bovine calf serum |
MMRV (ProQuad)(Refrigerator Stable) |
10/2018 |
(28) MRC-5 cells including DNA and protein, sucrose, hydrolyzed gelatin, urea, sodium chloride, sorbitol, (5) monosodium L-glutamate, sodium phosphate, recombinant (22) human albumin, sodium bicarbonate, potassium phosphate, potassium chloride, neomycin, (18) bovine serum albumin |
Pneumococcal (PCV13 - Prevnar 13) |
8/2017 |
CRM197 carrier protein, (21) polysorbate 80, succinate buffer, (14) aluminum phosphate |
Pneumococcal (PPSV-23 - Pneumovax) |
2/2020* |
isotonie saline solution, phenol |
Polio (IPV - Ipol) |
2/2020* |
(23) calf bovine serum albumin, (2)2-phenoxyethanol, (16) formaldehyde, neomycin, (20) streptomycin, polvmvxin B, M-199 medium |
Rabies (Imovax) |
10/2019 |
(22) human albumin, neomycin sulfate, phenol red, (27) beta-propiolactone |
Rabies (RabAvert) |
©2018 |
chicken protein, polygeline (processed bovine gelatin), (22) human serum albumin,potassium glutamate, sodium EDT A, ovalbumin, neomycin, chlortetracycline, amphotericin B |
Rotavirus (RotaTeq) |
2/2017 |
sucrose, sodium citrate, sodium phosphate monobasic monohydrate, sodium hydroxide, (21) polysorbate 80, cell culture media, fetal bovine serum [DNAfrom porcine circoviruses (PCV) 1 and 2 has been detected in RotaTeq. PCV-1 and PCV- |
Rotavirus (Rotarix) |
2/2020* |
dextran, Dulbecco's Modified Eagle Medium (sodium chloride, potassium chloride, magnesium sulfate, ferric (III) nitrate, sodium phosphate, sodium pyruvate, D- glucose, concentrated vitamin solution, L-cystine, L-tyrosine, amino acids, L- glutamine, calcium chloride, sodium hydrogenocarbonate, and phenol red), sorbitol, sucrose, calcium carbonate, sterile water, xanthan [Porcine circovirus type 1 (PCV- 1) is present in Rotarix. PCV-1 is not known to cause disease in humans.] |
Smallpox (Vaccinia)(ACAM2000) |
3/2018 |
HEPES, 2% human serum albumin, 0.5 - 0.7% sodium chloride USP, 5% Mannitol USP, neomycin, polymyxin B, 50% Glycerin USP, 0.25% phenol USP |
Td (Tenivac) |
11/2019 |
(14) aluminum phosphate, (16) formaldehyde, sodium chloride, water |
Td (TDVAX) |
9/2018 |
(14) aluminum phosphate, (16) formaldehyde, (15) thimerosal |
Tdap (Adacel) |
1/2019 |
(14) aluminum phosphate, (16) formaldehyde, (2)2-phenoxyethanol, (1)glutaraldehyde, water |
Tdap (Boostrix) |
2/2020* |
(16) formaldehyde, (14) aluminum hydroxide, sodium chloride, (21) polisorbate 80 |
Typhoid (Typhim Vi) |
3/2014 |
(16) formaldehyde, phenol, poly(4)dimethylsiloxane, disodium phosphate, (5) monosodiumphosphate, sodium chloride, sterile water |
Typhoid (Vivotif Tv21a) |
9/2013 |
sucrose, ascorbic acid, amino acids, lactose, (11)magnesium stearate. gelatin |
Varicella (Varivax)Frozen |
2/2020* |
(28) MRC-5 human diploid cells, including DNA & protein, sucrose, hydrolyzed gelatin, sodium chloride, (5) monosodium L-glutamate, sodium phosphate dibasic, sodium phosphate mono basic, potassium phosphate monobasic, potassium chloride, EDT A, neomycin, (24) fetal bovine serum |
Varicella (Varivax)Refrigerator Stable |
10/2018 |
(28) MRC-5 human diploid cells, including DNA & protein, sucrose, hydrolyzed gelatin, sodium chloride, (5) monosodium L-glutamate, urea, sodium phosphate dibasic, potassium phosphate monobasic, potassium ch lori de, neornycin, (24) bovine calf serum |
Yellow Fever (YF-Vax) |
2/2019 |
sorbitol, gelatin, sodium chloride |
Zoster (Shingles)(Zostavax) Frozen |
1/2019 |
(28) MRC-5 human diploid cells, including DNA & protein, sucrose, hydrolyzed porcine gelatin, sodium chloride, (5) monosodium L-glutamate, sodium phosphate dibasic, potassium phosphate monobasic, potassium ch lori de; neornycin, (24) bovine calf serum |
Vaccine |
Date |
Contient |
Zoster (Shingles)(Zostavax)Refrigerator Stable |
8/2018 |
(28) MRC-5 human diploid cells, including DNA & protein, sucrose, hydrolyzed porcine gelatin, urea, sodium chloride, (5) monosodium L-glutamate, sodium phosphate dibasic, |
Zoster (Shingles) (Shingrix) |
2/2020* |
sucrose, sodium chloride, dioleoyl phosphatidylcholine (DOPC), 3-O-desacl- 4'monophosphoryl lipid A (MPL), QS-21 (a saponin purified from plant extract Quillaja saponaria Molina), potassium dihydrogen phosphate, cholesterol, sodium dihydrogen phosphate dihydrate, disodium phosphate anhydrous, dipotassium phosphate, (21) polysorbate 80, host cell protein and DNA |
(Shingrix)
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(1) Glutaraldéhyde : Utilisé dans les produit nettoyant, comme les produits Ajax
Le glutaraldéhyde est un biocide. Il est utilisé pour tuer les germes virulents en milieu hospitalier. Il tue Eboli.
C'est un produit (toxicité cellulaire et systémique), qui, une fois inhalé, peut causer une irritation sévère des yeux, du nez, de la gorge et des poumons, ainsi que des maux de tête et des troubles de la perception.
Récemment, le glutaraldéhyde a commencé à être utilisé dans le domaine de l'aquariophilie. En fort petites doses, dans les aquariums plantés, le carbone de ce composé est assimilé par les plantes aquatiques pour la photosynthèse. Il faut faire attention, car une dose trop forte pourrait endommager la faune et la flore aquatique.
Le glutaraldéhyde fait partie de la liste des médicaments essentiels de l'Organisation mondiale de la santé .
Le glutaraldéhyde est utilisé dans les secteurs médical et dentaire
- comme agent désinfectant (les solutions aqueuses à 2 % sont utilisées pour la stérilisation à froid des instruments)
- dans les solutions de développement de films de rayons -X (solutions aqueuses 0,5 à 1 %)
- comme fixateur de matériel biologique (solutions aqueuses de 3 % à 8 %)
- comme agent thérapeutique (solutions aqueuses à 2 %, 10 % et 25 % utilisées dans le traitement contre la transpiration excessive, les infections fongiques, les verrues).
Il est également utilisé dans le secteur industriel
- comme agent de tannage du cuir
- comme agent de conservation en thanatopraxie (embaumement)
- comme intermédiaire chimique de la fabrication des adhésifs et de matériel électrique
- comme biocide dans les boues de forage, les conduites d'huile et de gaz ainsi que dans les procédés de traitements des eaux de refroidissement industrielles
- comme agent de conservation de plusieurs produits chimiques tels que les adoucisseurs et les cosmétiques
(2) Phénoxyéthanol
Le 2-phénoxyéthanol est un éther de glycol aromatique de formule semi-développée C6H5O-CH2-CH2OH utilisé dans les produits dermatologiques tels que les crèmes pour la peau et les crèmes solaires pour ses propriétés d'agent de conservation et de solvant.
- solvant pour peintures, vernis, laques, encres d'imprimerie, colorants ;
- Intermédiaires de synthèses ;
- biocide entrant dans la composition de produits d'entretien ménagers et industriels (agents de nettoyage, désinfectants…), de liquides pour systèmes de refroidissement, de produits pour l'industrie mécanique ou métallurgique (agent anti
- corrosion, lubrifiants, fluides d'usinage des métaux…), l'industrie textile, agent de coalescence pour colles au latex ;
biocides, répulsif d'insectes ; - agents de conservation pour cosmétiques, de produits d'hygiène corporelle et de produits pharmaceutiques à usage humain ou vétérinaire, fixateur de parfum (par exemple dans le conservateur EUXYL K400 (qui s'est révélé être un puissant sensibilisant11,12,13 et allergène14,15,16 et où l'on trouve aussi 20 % de méthylglutaronitrile, qui y est le principal allergène17).
Ce conservateur sert aussi souvent de solvant pour d’autres conservateurs, en particulier pour les parabènes. En aquaculture, il est utilisé comme anesthésique pour certaines espèces de poisson.
(3) Ammonium
(4) Polydiméthylsiloxane
La chaîne de poly(diméthylsiloxane) forme la structure de base des huiles et des caoutchoucs silicone. Huile de silicone polydiméthylsiloxane utilisant pour l'additif de rouge à lèvres. Pour polir les souliers sacs à main etc.
On s'en sert pour fabriqué :
(5) Monosodium glutamate
Le glutamate monosodique, également connu sous le nom de sel monosodique, monohydraté et glutamate monosodique L, est le sel de sodium d'un acide aminé commun connu sous le nom d'acide glutamique (glutamate). L'acide glutamique est naturellement présent dans notre corps et se produit naturellement dans de nombreux aliments tels que les tomates et les fromages.
Pourquoi est-il utilisé? Comme la gélatine, le MSG est utilisé comme conservateur et stabilisateur dans certains vaccins, les maintenant efficaces pendant la chaleur, le froid et la durée de conservation.
Le MSG, un additif alimentaire qui améliore le goût, est également un ingrédient de cinq vaccins recommandés par le CDC. Le MSG est utilisé comme stabilisant dans les vaccins. Des études ont montré que le MSG peut endommager les neurones cérébraux.
Les excitotoxines surstimulent certains neurones du cerveau, ce qui les oblige à continuer de tirer jusqu'à ce qu'ils se fatiguent et meurent.
Cette surexcitation des neurones peut causer des lésions cérébrales à des degrés divers et peut potentiellement déclencher des maladies dégénératives telles que la sclérose latérale amyotrophique (SLA, maladie de Lou Gehrig), la maladie de Parkinson et la maladie d'Alzheimer, qui se développent toutes progressivement.
Plusieurs études ont montré le lien entre la consommation de MSG et les maux de tête sévères comme effet secondaire. Une étude de 2009 publiée dans l'International Journal of Clinical and Experimental Medicine a utilisé des tests de culture neuronale de souris dissociés et de lésions cellulaires pour déterminer si les concentrations pertinentes de MSG induisent un gonflement ou la mort des cellules.
L'étude explique le mécanisme derrière les maux de tête induits par MSG qui affectent de nombreuses personnes qui ont une faible tolérance au MSG. Les auteurs déclarent:
En utilisant une technique de culture neuronale et un test de lésion cellulaire, nous avons étudié l'effet du MSG sur les neurones corticaux de souris, une préparation in vitro couramment utilisée pour les études de lésion cellulaire. Nous avons démontré que l'incubation avec MSG, à des concentrations cliniquement pertinentes, induisait un gonflement et des lésions des neurones matures. Cette découverte peut expliquer en partie les maux de tête induits par l'apport de MSG.
Quantité en vaccins? Alors que certains sites Web ont inventé l'alarme basée sur le MSG, elle est présente dans des vaccins programmés, l'adénovirus et la grippe.
(6) Plasdone C
Préparations pharmaceutiques, vétérinaires et sanitaires; substances diététiques à usage médical, aliments pour bébés; emplâtres, matériaux pour pansements; cire dentaire; désinfectants; préparations pour détruire la vermine; fongicides, herbicides.
(7) cellulose acetate
L'acétate de cellulose est une matière plastique inventée en 1865. C'est l'ester acétate de la cellulose.
Sous forme de fibres (fil textile, autrefois appelée acétol), ce produit a été vendu sous le nom de rayonne, soie artificielle, viscose, etc. Vernis pour tissus, le traitement de fils textiles, l'enrobage isolant de fils électriques.
L'acétate de cellulose a connu de nombreux usages, comme base de films en photographie, vernis (dont pour l'aéronautique5 lors de la Première Guerre mondiale), comme faux-émail ou encore comme composant de certains adhésifs ou explosifs on l'utilise encore comme matière plastique, par exemple dans les montures de lunettes ou les poignées de tournevis. Plus récemment, il est utilisé pour la confection de cartes à jouer (notamment la marque Kem) ou même de filtres à cigarettes.
(8) cellulose acetate phthalate
Ce qui est interessant avec le phtalate d'acétate de cellulose on lui attribue plusieurs noms, cellulose (cellacefates), acetate et phthalate, ça reste que pour le côté produits pharmaceutiques il est sans danger. Le phtalate d'acétate de cellulose est généralement plastifié avec du phtalate de (a) diéthyle, un composé hydrophobe, ou du (b) citrate de triéthyle, un composé hydrophile; d'autres plastifiants compatibles sont divers phtalates, (c) triacétine, tartrate de dibutyle, (d) glycérol, propylène glycol, (e) tripropionine, (f) citrate de triacétine, (g) monoglycérides acétylés, etc.
(a) Diéthyle : Le sulfure de diéthyle est utilisé comme solvant pour les minéraux anhydres et les bains de placage de l'or et de l'argent. Le sulfate de diéthyle a été identifié comme présentant un problème potentiel pour la santé humaine en raison de sa classification, par des organisations internationales, comme substance pouvant causer le cancer et des dommages génétiques chez des animaux de laboratoire; et en fonction d'un potentiel modéré d'exposition pour les Canadiens.
(b) Citrate de triéthyle : Le citrate de triéthyle est un ester de l'acide citrique. Dans l'industrie pharmaceutique, il est utilisé comme agent d'enrobage et plastique.
(c) La triacétine est utilisée aussi comme adjuvant de carburant pour réduire les cliquetis et améliorer la résistance au froid et la viscosité des biodiesels, il est aussi utilisé comme agent plastifiant dans des mélanges polymères utilisés pour le pelliculage des comprimés
(d) Glycérol : Initialement le glycérol a été découvert comme un résidu de la fabrication du savon. Hydratant qui améliore l'onctuosité et la lubrification des préparations pharmaceutiques.
(e) Tripropionine : Il a un rôle d'agent aromatisant.
(f) Citrate de triacétine : Tout comme le glycol, l'éthanol et la triacétine, le citrate de triéthyle est utilisé dans les arômes alimentaires comme solvant et excipient.
(g) Monoglycérides acétylés : Il sert comme émulsifiant, agent d'enrobage, gélifiant, antioxydant et support pour colorant. Il est obtenu par hydrolyse, soit à partir de graisses et produits animaux (panses de bœuf, cornes, lard, suif, …) soit à partir d'huiles végétales (huile de palme, soja, olive, graines de coton, colza, tournesol, …)1. Il est encore connu sous le nom de mono- et diglycérides d'acides gras.
Le phtalate d'acétate de cellulose, également connu sous le nom de cellacefate et cellulosi acetas phthalas, est un phtalate de polymère couramment utilisé dans la formulation de produits pharmaceutiques, comme l'enrobage entérique de comprimés ou de capsules et pour les formulations à libération contrôlée.
cosmétiques, peintures, vêtements, jouets
Les phtalates sont un groupe de produits chimiques dérivés (sels ou esters) de l’acide phtalique. Ils sont donc composés d'un noyau benzénique et de deux groupements ester placés en ortho et dont la taille de la chaîne alkyle peut varier. Les phtalates sont utilisés comme plastifiants des matières plastiques (en particulier du polychlorure de vinyle (PVC), pour former par exemple des plastisols) pour les rendre souples.
Presque tous les produits en polychlorure de vinyle (PVC) en contiennent (ils les rendent moins cassants, semi-rigides ou souples) On les trouve dans des milliers de produits courants en PVC : couches, chaussures et bottes, textiles imperméables, cuirs synthétiques, jouets, consoles de jeux, encres d’imprimerie, détergents, les adhésifs, les revêtements de sol en vinyle, les huiles lubrifiantes, les condensateurs électriques, les détergents, les solvants, les produits pharmaceutiques, les fils et câbles électriques et les produits cosmétiques (parfums, déodorants, lotions après rasage, shampooings, aérosols pour cheveux, vernis à ongles. Ils sont présents dans des matériaux de construction, d’ameublement et de décoration, incorporés dans les revêtements en vinyle.. Ils renforcent l’effet des adhésifs et les pigments de peinture.
Certains d'entre eux possèdent un effet perturbateur endocrinien et sont toxiques pour l'appareil reproducteur mâle chez le rongeur. Plusieurs phtalates ont été classés dans la catégorie des substances présumées toxiques pour la reproduction humaine (CMR catégorie 1B) par l'Agence européenne des produits chimiques (ECHA).
Des mesures ont été prises au niveau français et européen qui limitent, voire interdisent, l'utilisation de certains phtalates préoccupants dans les cosmétiques, les jouets et articles pouvant être portés à la bouche par des enfants, les dispositifs médicaux et les matériaux de contact alimentaire.
L'ANSM a demandé en 2016 des mesures correctives aux industriels et a publié un avis aux fabricants, rappelant leurs obligations d'étiquetage concernant la présence de phtalates classés carcinogènes, mutagènes ou toxiques pour la reproduction de catégorie 1A ou 1B selon le règlement CE no 1272/2008 dans certains dispositifs médicaux.
Les effets secondaires provoqués par les phtalates en concentrations relativement élevées chez les animaux en laboratoire sont : la baisse de la fertilité, l'atrophie testiculaire, la réduction du poids du fœtus, la mortalité fœtale, et des malformations. Certains phtalates possèdent également un effet perturbateur endocrinien et peuvent provoquer des anomalies du développement sexuel chez le jeune rat mâle exposé in utero. De plus, il a été enregistré des effets sur le foie, les reins et le système reproducteur mâle. Les effets varient d’un phtalate à l'autre. La dose journalière tolérable pour les rats se situe entre 50 et 600 mg/kg par jour, la dose la plus basse à laquelle aucun effet toxique n'est observé (NOAEL) chez l’animal est de 50 mg/kg par jour16.
La toxicité des phtalates les plus employés, tel le DEHP, est assez bien connue. Il reste cependant quelques suspicions à propos des effets cancérigènes de ces phtalates. Bien que des effets aient été prouvés sur des rongeurs (tumeurs hépatiques), les mécanismes biologiques n’étant pas rigoureusement identiques, il n’est pas possible d’affirmer que les phtalates soient cancérigènes pour l’homme.
(9) Microcrystalline: obtenue sous forme de pâte à partir de matière végétale fibreuse, avec des acides minéraux utilisant de l'acide chlorhydrique pour réduire le degré de polymérisation. Le MCC peut être synthétisé par différents processus tels que l'extrusion réactive, la médiation enzymatique, l'explosion de vapeur et l'hydrolyse acide. Il est généralement fabriqué par séchage par pulvérisation de la suspension aqueuse neutralisée de cellulose hydrolysée. Le MCC est un additif précieux dans les industries pharmaceutique, alimentaire, cosmétique et autres. Les MMC obtenues à partir de différentes sources différeront considérablement dans la composition chimique, l'organisation structurale et les propriétés physicochimiques (cristallinité, teneur en humidité, surface et structure poreuse, poids moléculaire, etc.). La forte demande de cellulose microcristalline utilisée dans les industries pharmaceutiques a conduit à l'utilisation de matériaux d'origine locale et naturelle dans la production de cellulose microcristalline.
(10) Polacrilin potassium : Enrebage des pilules.
(11) Le stéarate de magnésium (sin 470b) est un sel constitué de deux anions stéarate et d'un cation magnésium, de formule C36H70MgO4. Solide à température ambiante, il fond vers 88 °C et n'est pas soluble dans l'eau. On le trouve avec le stéarate de calcium dans la crasse de savon générée par l'action d'une eau dure sur un savon (s'il contient des stéarates).
Cette substance de consistance onctueuse est utilisée en confiserie ou comme lubrifiant dans la fabrication des comprimés et des gélules. Dans l'industrie pharmaceutique, le stéarate de magnésium, habituellement de source bovine, est progressivement remplacé par le composé d'origine végétale pour des raisons de sécurité sanitaire.
(12) L'acétone : est un solvant très utilisé dans l'industrie et en laboratoire car il a l'avantage de solubiliser de manière particulièrement rapide de nombreuses espèces organiques et parce qu'il est miscible avec l'eau. C'est également un composé à la base de la fabrication de plastiques, de médicaments, et autres produits issus de l'industrie de synthèse. L'acétone est notamment utilisée dans l'industrie pour produire le bisphénol A par réaction avec le phénol. Le bisphénol A est un constituant important de nombreux polymères de type polycarbonate ou polyuréthane ainsi que de résines époxyde.
L'acétone est également le principal constituant de certains dissolvants utilisés pour retirer le vernis à ongles. Elle est également utilisée comme dissolvant pour dissoudre la colle et les fibres cellulosiques. Il est recommandé de ne pas utiliser d'acétone sur les fibres artificielles (acétate, triacétate et acrylique). L'acétone est également utilisé pour le dégraissage industriel.
Le contact avec l'acétone peut provoquer des irritations ou des dégâts sur la peau. Une exposition importante et prolongée peut entraîner une perte de conscience.
Des études sur animaux de laboratoire ont démontré des dommages aux reins, au foie et aux nerfs, ainsi qu'au fœtus en cas d'exposition prolongée à des doses importantes d'acétone. Les animaux mâles montraient également des troubles voire des incapacités de reproduction. On ne sait pas si ce genre d'effets peut être observé chez l'humain.
(13) FD&C Yellow : La tartrazine est un composé azoïque. C'est une poudre orange très soluble dans l'eau.
Les risques ainsi que les effets secondaires liés à l'utilisation sont : hyperactivité, rhinites, troubles de la vue, et pourrait être cancérigène, avec effets mutagènes et tératogènes. Elle représente un facteur d'irritabilité et du trouble du sommeil chez l'enfant. Elle présente des risques d'urticaire, d'asthme et une sensibilité lorsqu'elle est croisée avec de l'aspirine.
(14) L'aluminium (Aluminium phosphate) (hydroxyde) : est l'élément chimique de numéro atomique 13. Sa nature réactive en fait également un catalyseur et un additif dans l'industrie chimique. Utilisé dans les ciments dentaires, en cosmétique dans des antiacides et produits pharmaceutiques, pour certains vernis, peintures, vitres et céramiques, dans l'industrie des pâtes et papiers.
hydroxyde : L'hydroxyde d'aluminium est parfois utilisé comme adjuvant immunologique dans certains vaccins, ce qui a donné lieu à des controverses médicales et médiatiques, notamment sur la myofasciite à macrophages.
(h) catalyseur :
Un catalyseur a pour effet de modifier la nature même des étapes qui permettent de passer des réactifs aux produits. Cependant, il n'est capable de modifier ni le sens de l'évolution du système, ni son état d’équilibre. Il influe uniquement sur la cinétique chimique, en accélérant une réaction ou en permettant de privilégier une réaction par rapport à une autre.
Un catalyseur est spécifique d'un type de réaction, c'est-à-dire qu'un même catalyseur ne peut pas être efficace pour toutes les réactions chimiques.
Il peu-être injecté dans le muscle dans le cas de nombreux vaccins injectables (à adjuvant vaccinal aluminique) Depuis les années 1980 au moins, certains chercheurs et médecins s'inquiètent d'effets sanitaires (avérés et potentiels) de l'aluminium, notamment dans les groupes vulnérables tels que les enfants, les personnes âgées et les personnes atteintes d'une néphrologie. Il est aujourd'hui clairement considéré comme neurotoxique.
certaines encéphalopathie, dont l'« encéphalopathie des dialysés » (ou « démence des dialysés ») observée dès 1972, aui a pu être attribuée en 1978 à l'aluminium contenu dans le dialysat (qui s'ajoute à un apport oral d'hydroxyde d'aluminium visant à contrôler l'hyperphosphorémie du patient). La réglementation européenne impose maintenant aux centres de dialyse de mieux contrôler l'exposition des dialysés à l'aluminium, ce qui s'est traduit par une diminution de leurs taux sériques moyens, avec une diminution de 61,8 ± 47,5 μg·l-1 en 1988 à 25,78 ± 22,2 μg·l-1 en 199689. L'une de complications au niveau du système nerveux central peut être la myofasciite à macrophages l’épilepsie, y compris (chez le chat en laboratoire).
Ce métal commun est depuis plusieurs décennies soupçonné de jouer un rôle dans la maladie d'Alzheimer pour les patients soumis à une exposition chronique à ce métal.
Des cas particuliers sont certains adjuvants de vaccins, et l’eau pour la dilution des concentrés pour hémodialyse, lorsqu’elle provient d’une station de production inefficace, ainsi que les poches de nutrition parentérale. Dans ces derniers cas, l'aluminium est directement injecté dans le système sanguin ou dans le muscle (autrefois la vaccination pouvait être sous-cutanée, mais elle est devenue intramusculaire).
La campagne massive de vaccination à la suite de la grippe A (H1N1) de 2009-2010 a relancé la polémique sur les risques de santé liés à cet élément, car 47 % des vaccins commercialisés contiennent comme (i) adjuvant de l'aluminium.
En 2004, après une étude épidémiologique, le Conseil de l'AFSSAPS116 conclut qu'en l'état actuel des connaissances, aucun syndrome clinique spécifique n'est retrouvé associé à la vaccination avec des vaccins contenant des adjuvants aluminiques.
(i) Un adjuvant est un agent pharmacologique ou immunologique qui modifie l'effet d'autres agents. Des adjuvants peuvent être ajoutés à un vaccin pour stimuler la réponse immunitaire afin de produire plus d'anticorps et une immunité plus durable, minimisant ainsi la dose d'antigène nécessaire.
En 2015, le 11e Keele Meeting, tenu du 28 février au 5 mars, à l'université de Lille, "alerte sur les risques croissant de l’aluminium sur la santé humaine. Les suspicions de toxicité deviennent des certitudes.
(j) La première réunion de Keele sur l'aluminium a été convoquée à l'hiver 1995 pour tenter d'établir la nature de l'effort de recherche sur l'aluminium au Royaume-Uni.
« Il est essentiel que nous levions le sujet de l'écotoxicité de l'aluminium et de son rôle dans les maladies humaines et plus particulièrement celles du système nerveux central dont la maladie d'Alzheimer. Il est évident que nous sommes confrontés quotidiennement à l'aluminium dans des domaines où son innocuité n'a jamais été testée et encore moins démontrée comme la vaccination, l'immunothérapie et les cosmétiques »
- Le groupe Nerf-Muscle du département de pathologie de l'hôpital Henri-Mondor de Créteil, et le groupe d’études et de recherche sur les maladies musculaires acquises et dysimmunitaires (GERMMAD) de l’Association française contre les myopathies décèlent un syndrome qu'ils appellent « myofasciite à macrophages » (MFM), qui sera histologiquement défini en 1998 puis médicalement défini en 2003.
- Décembre 2000, la direction générale de la Santé (DGS, ministère de la Santé) saisit les agences de sécurité sanitaire (Afssaps/Afssa/InVS) à propos des risques de l’aluminium pour la population (notamment concernant la maladie d'Alzheimer).
- Fin 2000, l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (Afssaps) décide de faire un point sur l'aluminium dans les produits de santé (voir rendu du rapport en 2003)
- En 2001, des indices forts penchent en faveur d'une hypothèse associant l'aluminium contenu dans les vaccins à la myofasciite à macrophages car il est retrouvé dans des biopsies musculaires.
- En 2003, dans le rapport « Évaluation des risques sanitaires liés à l’exposition de la population française à l’aluminium » (Afssaps/Afssa/InVS 2003), l'agence conclut qu'on manque encore de données pertinentes quant à l’absorption cutanée de l’aluminium contenu dans les produits cosmétiques. L'Afssaps décide de s'auto-saisir du sujet. L'InVS concluait à un manque de données suffisantes pour confirmer ou infirmer les conséquences de l’aluminium sur la santé. Par exemple, la qualité des eaux de boisson est très suivie, mais non les effets des emballages en aluminium.
- En 2004, une étude de Darbre et al. (2003) évoque un risque de cancérogénicité pour le sein chez les femmes utilisant des antitranspirants à base d’aluminium. La DGS interroge l'Afssaps à ce sujet.
- En octobre 2011, l'Afssaps, via un rapport sur l'« Évaluation du risque lié à l'utilisation de l'aluminium dans les produits cosmétiques » demande aux fabricants de déodorants et d'antiperspirants de diminuer la teneur de ces produits en composés d'aluminium (l'industrie des cosmétiques est susceptible d'utiliser au moins vingt-cinq composés de l’aluminium, dont principalement le chlorohydrate d'aluminium comme antitranspirant. L'aluminium provoque une rétraction des pores et a une action bactéricide) ou de le remplacer par des alternatives. Selon l'Afssaps, 18 % des sels d’aluminium d'un déodorant traversent la peau blessée ou irritée (après rasage ou épilation par exemple). L'Agence demande qu'un avertissement figure sur les boites, et demande aux fabricants de ne pas dépasser 0,6 % du produit alors que certains déodorants contiennent jusqu'à plus de 20 % d'aluminium. En 2012, aucune de ces recommandations n'avait été suivie par les grands industriels de la cosmétique. L'Afssaps a intégré pour former son nouvel avis la "récente étude d’absorption cutanée fournie par les industriels du secteur cosmétique, donnée manquante dans le rapport de 2003", et "une synthèse des données toxicologiques, en partie basée sur le récent avis émis par l'Autorité européenne de sécurité des aliments" (EFSA).
- En janvier 2012, France 5 diffuse un documentaire, Aluminium, notre poison quotidien, qui fait le point sur l'exposition des populations aux sels d'aluminium solubles. À cette occasion, une association de médecins, l'Association Santé Environnement France, alerte sur l'importance de sensibiliser sur la toxicité de ce métal.
- Le 12 mars 2012, TF1 diffuse lors du Journal de 20 heures un reportage qui indique que le Dr Olivier Guillard et le Pr Alain Pineau ont prouvé que les sels d'aluminium (chlorhydrate d’aluminium et chlorure d'aluminium) contenus dans les déodorants et antitranspirants passent dans le sang et ce d'autant plus facilement quand la peau est lésée, épilée ou rasée. Cette découverte a fait l'objet de plusieurs publication dans des revues scientifiques : Toxicology Mechanisms and Methods et dans Journal of Inorganic Biochemistry Selon ce même reportage, les industriels du cosmétique quant à eux considèrent qu'il n'y a aucune raison de remettre en cause leurs pratiques.
- En mars 2013, la chaîne Arte consacre une soirée Thema à la toxicité de l'aluminium : effet des excipients dus à l'aluminium ; industrie des produits dérivés ; présence dans l'eau du réseau de ville, effet sur les maladies du cerveau. Le film documentaire Planet Alu de Bert Ehgartner (en) est diffusé.
Il est reconnu que l'accumulation d'aluminium dans l'organisme peut provoquer des complications au niveau du système nerveux central, des troubles de mémoire, le psoriasis et l'épilepsie.
(15) thimerosal : Le thiomersal est un composé chimique organomercuriel, de formule C9H9HgNaO2S, composé approximativement de 49 % de mercure (en masse, le restant étant composé d'acide thiosalicylique). Cet éthylmercure synthétisé en 1926 par Morris Selig Kharasch (qui en obtint le brevet en 1928) est un biocide surtout utilisé comme antibactérien et comme fongicide. Les producteurs de vaccins ont notamment utilisé du thiomersal comme agent conservateur dans les vaccins à partir des années 1930. À la fin des années 1990, en raison de préoccupations concernant la possibilité d'effets secondaires graves, les autorités sanitaires américaines et européennes se sont engagées à éviter le recours au thiomersal dans les vaccins.
Le thiomersal est très toxique par inhalation, par ingestion et par contact avec la peau (CE symbole de danger T +), avec un danger d'effet cumulatif. Il est également très toxique pour les organismes aquatiques. Le mercure n'étant pas biodégradable, il peut causer à long terme des effets néfastes dans les milieux aquatiques (CE symbole de danger N).
(16) Formaldéhyde : Cet ingrédient est utilisé comme conservateur dans certains nettoyants; cependant, il est cancérigène. Utilisés pour tuer les virus ou inactiver les toxines.
(17) Ethylenediaminetetraacetic acid (EDTA): L’EDTA est une substance qui complexe les métaux lourds et qui, complexée, peut se fixer dans un organisme et est difficilement biodégradable.
(18) Bovine serum albumin : protéine, elle provient du sang de bovin purifié, qui est un sous-produit de l'industrie bovine.
(19) Aminoglycoside : Les aminoglycosides sont toxiques chez les cellules eucaryotes. Le principal mécanisme de cette toxicité est le blocage des ribosomes mitochondriaux qui sont également sensibles à l'action de ces composés. La faible perméabilité mitochondriale limite cet effet. Chez l'homme, il existe toutefois une toxicité avérée au niveau des oreilles (ototoxique) et des reins (néphrotoxique) qui nécessite une surveillance lors de l'administration par voie générale. Les atteintes rénales sont une conséquence de la concentration des aminosides au niveau de cet organe. Les aminoglycosides sont filtrés puis pinocytosés par les cellules tubulaires rénales pour y être détruits dans les lysosomes. Ceci intoxique progressivement la cellule et mène à une nécrose tubulaire. Pour plusieurs aminoglycosides, il a été prouvé que la néphrotoxicité est moindre lors de l'administration de la dose journalière en une seule prise, sans diminution de l'efficacité.
La marge thérapeutique-toxique est étroite, d'où l'importance des contrôles sanguins.
On les administre à des doses basées sur le poids corporel. Il faut surveiller le taux plasmatique, la fonction rénale (créatinine) et il peut être pertinent de passer des audiogrammes de contrôle après le traitement.
Les aminosides ne doivent pas être administrés pendant la grossesse (à moins d'extrême nécessité), vu le risque important de rendre le nouveau-né sourd.
Chez les malades atteints d'insuffisance rénale et chez les patients âgés, l'excrétion des aminoglycosides est retardée et le risque de toxicité est encore plus élevé. Toute atteinte de la fonction rénale exige une réduction de la posologie, de préférence par une diminution de la fréquence des administrations, éventuellement par une diminution de chaque dose.
(20) streptomycin sulfate : La streptomycine est le premier antibiotique cytostatique et cytotoxique de la classe des aminosides (ou aminoglycosides) découvert. C'est un antibiotique à spectres larges pouvant réagir avec les bacilles gram négatifs, avec certains cocci gram positifs ou avec certaines mycobactéries. Dès 1948, il est montré des effets secondaires lors de l'utilisation de la streptomycine. Elle entraine des troubles de la vue et a des effets toxiques sur l'oreille interne. Il a été observé une atteinte de la partie vestibulaire du nerf crânien(le nerf vestibulaire) pouvant entraîner des acouphènes, des vertiges et de l'ataxie.
(21) Polysorbate 80 : Une étude récente suggère que deux additifs très utilisés par l'industrie alimentaire, le polysorbate 80 et la carboxyméthylcellulose, favorisent le développement du cancer colorectal.
(22) human serum albumin : Les solutions d'albumine humaine sont préparées à partir d'un mélange de sang, de plasma, de sérum ou de tissus placentaires prélevés sur des donneurs sains. Elles sont ensuite traitées par un procédé thermique pour inactiver d'éventuels virus ou bactéries, afin d'éviter tout risque de transmission d'une pathologie telle qu'une hépatite virale ou l'infection à VIH.
Les effets indésirables liés à l'utilisation d'albumine humaine sont rares. Les patients peuvent toutefois présenter une fièvre, des nausées, de l'urticaire. Quelques cas d'hypotension ont été signalés.
(23) Baryum : Le baryum est l'élément chimique de numéro atomique 56, de symbole Ba.
(24) calf bovine serum albumin :
(25) Hydrocortisone : Ne donnez pas ce médicament à quiconque, même à quelqu'un qui souffre des mêmes symptômes que les vôtres. Ce médicament pourrait nuire aux personnes pour lesquelles il n'a pas été prescrit.
N'utilisez pas d'hydrocortisone topique si vous :
- êtes allergique à l'hydrocortisone ou à l'un des ingrédients du médicament ;
- êtes allergique à un autre médicament corticostéroïde;
- êtes atteint de certaines infections virales comme l'herpès, la varicelle ou la vaccine ;
- avez des infections cutanées tuberculeuses, fongiques ou bactériennes.
(26) octylphenol ethoxylate (Triton X-100) : Le Triton X-100 est un détergent de synthèse de formule brute. Il est utilisé notamment pour le nettoyage des matériaux fragiles et agit comme agent de décrassage de surface (métal, bois, etc).
- Nocif en cas d'ingestion
- Provoque une irritation cutanée
- Provoque des lésions oculaires graves
- Très toxique pour les organismes aquatiques, entraîne des effets néfastes à long terme
Pendant la vaccination, les enfants reçoivent une injection de Triton X-100, un tensioactif chimique fabriqué par Dow Chemical. Le produit chimique est également utilisé dans la fabrication de nettoyants ménagers et industriels, de peintures et de revêtements, ainsi que de fluides de gisement de pétrole et de travail des métaux.
Une étude du Indian Journal of Occupational & Environmental Medicine a révélé que le polyéthylène présent dans les détergents comme le Triton X-100 est associé à une multitude de défauts de santé indésirables, notamment la résistance à l'insuline, une activité reproductrice réduite et d'autres problèmes métaboliques.
Une autre étude a montré que les tensioactifs non ioniques tels que le Triton X-100 endommagent l'activité enzymatique qui est vitale pour les fonctions physiologiques normales du corps. Les tensioactifs sont également considérés comme cancérigènes et sont extrêmement toxiques lorsqu'ils s'accumulent dans le corps. De plus, l'accumulation de surfactants comme le Triton X-100 à l'intérieur du corps peut entraîner des lésions hépatiques et d'autres symptômes chroniques. Ces résultats apparaissent dans le Journal of Chemical and Pharmaceutical Research.
Les détergents, tels que Triton X-100, trouvés dans les vaccins contre la grippe ont également démontré une toxicité synergique avec d'autres médicaments. Il est également démontré que ces détergents favorisent la croissance tumorale et provoquent des fuites cellulaires dues à des parois cellulaires affaiblies. Ces substances toxiques n'ont pas de mécanisme qui régule leurs substances destructrices et copie souvent le complexe d'attaque membranaire (MAC). L'industrie pharmaceutique ne parvient pas à filtrer et à purifier ces mécanismes du produit vaccinal final, ce qui signifie que ces produits chimiques destructeurs pénètrent directement dans la circulation sanguine au moment de la vaccination.
Les données de recherche ont également montré que le polyéthylène contenu dans Triton X-100 est un perturbateur endocrinien, qui interfère avec les fonctions endocriniennes normales dans le corps. L'étude, publiée dans Molecular and Cellular Endocrinology, a souligné que le composé fait dérailler les mécanismes homéostatiques du corps qui sont essentiels pour la régulation du poids. Une autre étude a révélé qu'une exposition très élevée au polyéthylène, que l'on trouve couramment dans les surfactants tels que le Triton X-100, entraîne des incidents de reproduction indésirables.
Le détergent industriel Triton X-100 n'est qu'un des nombreux ingrédients toxiques présents dans le vaccin contre la grippe. Selon la liste des CDC, les vaccins contre la grippe contiennent également des traces de formaldéhyde, de glutamate monosodique et de thimérosal, un cancérigène, une neurotoxine et un composé à base de mercure respectivement. L'inscription du Triton X-100 sur la liste des CDC constitue un moment opportun pour demander des évaluations de la toxicité des substances ajoutées aux vaccins.
(27) beta-propiolactone : La beta-propiolactone est « raisonnablement susceptible d'être cancérigène pour les humains » (CIRC, 1999)4. Elle a été autrefois largement utilisée dans la fabrication d'acide acrylique et de ses esters (acrylates), mais son utilisation a été principalement éliminée en faveur d'alternatives plus sûres et moins coûteuses.
Une exposition cutanée aiguë peut provoquer une irritation de la peau, des cloques ou des brûlures chez l'homme. Le contact avec les yeux peut provoquer une opacification cornéenne permanente. Des brûlures de l'estomac et de l'estomac peuvent survenir chez l'homme après une exposition aiguë par ingestion. Aucune information n'est disponible sur les effets chroniques (à long terme), reproductifs, sur le développement ou cancérogènes de la bêta-propiolactone chez l'homme. Des carcinomes épidermoïdes du préestomac ont été signalés chez des rats exposés par voie orale. Rongeurs exposés par voie cutanée, des tumeurs cutanées ont été observées. Le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC) a classé la bêta-propiolactone dans le groupe 2B, cancérogène pour l'homme.
Ce désinfectant est utilisé pour stériliser le plasma sanguin, les vaccins, les greffes de tissus, les instruments chirurgicaux et des enzymes.
(28) MRC-5 : Les MRC-5 sont une lignée de cellules de type fibroblastes embryonnaires humains. Elles sont utilisées pour réaliser des cultures de virus (par exemple le Cytomégalovirus), à des fins diagnostic, de recherche ou pour produire des vaccins comme celui contre l'hépatite A.
La MRC-5 (Medical Research Council cell souche 5) est une lignée de culture de cellules humaines diploïdes composée de fibroblastes, développée à l'origine à partir de la recherche dérivant du tissu pulmonaire d'un foetus de race blanche de sexe masculin avorté de 14 semaines, le processus de fabrication actuel utilise des usines cellulaires pour développer la MRC- 5 sans avoir besoin de cellules fœtales.
La responsabilité des vaccins
Les troubles épileptiques chez les enfants sont montés en flèche au cours des dernières années. Aujourd’hui, un enfant sur 20, en dessous de 5 ans, souffre d’épilepsie. De nombreux parents savent que les vaccins sont à blâmer parce que les crises de leurs enfants ont commencé juste après la ou les vaccinations. Pour les représentants du gouvernement, il s’agit de pure coïncidence.
L’épilepsie est le diagnostic médical officiel donné aux patients qui souffrent de crises multiples.
Selon la Fondation pour l’épilepsie, au moins 360.000 enfants aux Etats-Unis ont reçu le diagnostic d’épilepsie. 200.000 nouveaux cas sont diagnostiqués chaque année. Selon les autorités de l’Université John Hopkins , l’épilepsie est une maladie au cours de laquelle des crises se reproduisent à répétition, au moins deux ou plusieurs crises non provoquées.
Selon le Dr Sarah Shalev, MD, chercheur sur les problèmes d’épilepsie de l’Université de Californie à San Francisco « une crise se produit lorsque trop de cellules nerveuses du cerveau « s’enflamment » trop rapidement et finissent par produire une sorte d’ « orage ».
Aux Etats-Unis, environ un adulte sur 100 est épileptique, et un enfant sur 20 de moins de 5 ans souffre également de la même maladie. Il existe plus de 40 types différents de crises. Certaines impliquent des convulsions, des crises tonico-cloniques ou grand mal.
L’infection du cerveau est une cause de convulsions et d’épilepsie. Il existe plusieurs formes d’épilepsie et le type d’épilepsie dont souffre un enfant peut changer à mesure qu’il grandit.
Les symptômes des crises comprennent des évanouissements, de la confusion, des chutes inexpliquées, des clignotements des yeux et mâchonnements à des moments inappropriés. L’épilepsie est diagnostiquée par l’histoire même du patient, des examens médicaux, et un examen neurologique.
Malheureusement, les vaccins sont à blâmer pour de nombreux cas d’épilepsie infantile. L’épilepsie causée par les vaccins peut comporter de la fièvre, de l’infection et un œdème du cerveau. Dans différentes études, les enfants dont l’autisme a été mis en relation avec les vaccins, présentent un taux plus élevé de crises.
Selon les notices des fabricants de vaccins, les crises sont signalées comme comportant un risque pour les vaccins contre la varicelle, la rougeole, les oreillons, la rubéole, la coqueluche, les infections à pneumocoques, la poliomyélite, le tétanos, l’hépatite B, la diphtérie et le rotavirus.
En outre, bien que sa notice ne mentionne pas spécifiquement les crises comme un risque, le vaccin contre la grippe augmente le risque d’encéphalopathie qui est un trouble du cerveau qui altère ses fonctions, en augmentant le risque de convulsions.
L’encéphalite qui provoque également un gonflement du cerveau est une autre réaction indésirable des vaccins qui augmente la possibilité de convulsions.
Pour les militaires qui sont obligés de se faire vacciner contre la variole, le vaccin comporte également un risque accru d’encéphalite, d’encéphalomyélite, d’encéphalopathie et de troubles neurologiques qui augmentent le risque de convulsions.
La notice du vaccin ROR (Rougeole-Oreillons-Rubéole) met en garde les patients contre l’utilisation de ce vaccin s’il existe dans leur famille une histoire de convulsions.
Une recherche dans les données du VAERS (Vaccine Adverse Events Reporting System) montre qu’après vaccination, 13.288 cas de convulsions ont été rapportés, ainsi que 1.670 cas d’épilepsie. Une recherche dans les données du VAERS concernant différentes formes d’encéphalite et d’encéphalopathie montre que 1.490 événements indésirables ont été rapportés. Ces conditions pourraient, dans la suite, conduire à des crises.
Selon les Centres de Contrôle et de Prévention des Maladies, « le VAERS ne reçoit des rapports que pour une faible fraction des événements indésirables réels. » Le NVIC (National Vaccine Information Center stipule que moins de 1 à 10% des effets indésirables des vaccins sont signalés.
Une recherche bien conçue réalisée en Nouvelle-Ecosse a étudié les cas de 692 enfants pendant plus d’une décennie et a noté que les enfants atteints d’épilepsie avaient 5 fois plus de risques de mourir que les autres enfants. C’étaient les enfants atteints de troubles neurologiques et qui, en outre, souffraient d’épilepsie qui couraient le plus grand risque de mourir dans une crise.
Une étude similaire menée aux Pays-Bas a confirmé ces conclusions. Elle a montré que les enfants souffrant de troubles épileptiques étaient neuf fois plus susceptibles de mourir que des enfants en bonne santé. Dans cette étude, tous les enfants qui sont décédés souffraient également de problèmes neurologiques.
Selon une étude publiée dans l’ « American Journal of Neuroradiology », les crises peuvent causer des lésions cérébrales. Les études animales ont montré que les crises peuvent causer des dommages à l’hippocampe. Une autre étude a démontré que l’épilepsie du lobe temporal chez les humains pouvait provoquer « un dysfonctionnement progressif du cerveau ».
L’auteur de l’article, le Dr Richard A. Bronen a déclaré : « Quand la crise se prolonge…des dommages cérébraux peuvent s’ensuivre et être profonds. »
Outre un risque plus élevé de décès, les enfants épileptiques souffrent de taux plus élevés de dépression et d’anxiété. Une étude publiée dans la revue internationale Epilepsy and Behaviour a montré que 31% des enfants qui souffraient d’épilepsie souffraient d’anxiété, et 21% des enfants épileptiques montraient des symptômes évocateurs d’une dépression. Ces deux taux étaient encore plus élevés que les taux relevés par les parents d’enfants épileptiques qui s’occupaient d’un enfant souffrant de troubles neurologiques.
En plus de l’augmentation des taux de décès, de lésions cérébrales, de dépression, d’anxiété chez les personnes souffrant d’épilepsie, les médicaments qui leur sont prescrits pour combattre les crises, présentent aussi des effets secondaires graves. Parmi ces effets secondaires des médicaments anti-épileptiques on trouve : la fatigue, des maux d’estomac, de la confusion, des étourdissements, des problèmes de foie, une mauvaise coordination, des problèmes d’équilibre, une marche instable, de la perte osseuse, des maux de tête, des troubles cognitifs, des problèmes d’humeur, de motivation, de la perte d’énergie.
Comme plusieurs études le montrent, le trouble obsessionnel compulsif est aussi couramment diagnostiqué chez les personnes atteintes d’épilepsie. Les problèmes de sommeil sont aussi une préoccupation sérieuse pour les personnes atteintes d’épilepsie.
Selon « The Epilepsy Foundation » :
Les patients souffrant d’épilepsie partielle ont deux fois plus de risques de faire de la somnolence que les personnes ne souffrant pas d’épilepsie, ce qui aggrave considérablement leur qualité de vie. Une partie de ces problèmes peut être mise en relation avec une apnée qui n’est pas souvent diagnostiquée.
Les enfants atteints d’épilepsie ont plus souvent un sommeil de mauvaise qualité, font de l’anxiété par rapport à leur sommeil, et connaissent aussi des troubles respiratoires.
Il est connu que les patients qui prennent des anticonvulsivants (phénobarbital, phénytoïne, carbamazépine, acide valproïque) voient leur somnolence augmenter par rapport aux patients épileptiques que ne prennent pas d’anticonvulsivants. [24]
L’épilepsie est une maladie grave avec des conséquences pour les enfants, les adultes, les familles qui sont touchés par cette maladie de grande envergure. De nombreux vaccins font courir le risque aux enfants de développer une épilepsie. Les effets de crises répétées sont parfois susceptibles de durer des années, parfois pour la vie entière
On tente par tous les moyens de nous rassurer que les vaccins ne sont pas dangereux, mais je ne suis pas rassurer du tout, mais pas du tout! mais quand l'on parle de maladie rare, très rare, comme les maladies orphelines et ont ne trouve pas la cause, même avec les testes ADN poussé, pour connaitre la provenance, mais aujourd'hui on est capable de connaitre l'arbre géologique de toutes personnes sur cette terre avec des tests ADN.
Ce qu'il faut savoir, il n'y a aucun test de dépistage d'allergie lorsque vous injecte le vaccin, même les enfants ne subissent aucun test de dépistage d'allergie, donc les médecins, spécialistes, virologues, etc. ne peuvent dire comment votre système agira, comment votre organisme acceptera ces ingrédients médicamenteux qui certains risquent d'avoir des effet secondaire désastreux qui impliquera la santé de vos enfants.
En fait, il n'y a personne qui sait exactement (médecins) ce qu'il injectera à votre enfant, car, qui peut dire comment votre corps agira ?
Mais si vous n'êtes pas encore certain, voici quelques liens liant vaccins et maladie.
- http://www.examiner.com/article/parents-question-vaccines…
- http://www.epilepsy.com/learn/seizures-youth
- http://www.hopkinsmedicine.org/neurology…epilepsy/seizures/
- http://www.epilepsy.va.gov/Library/VAepilepsybasics.pdf
- http://www.hopkinsmedicine.org/neurology…seizures/causes/
- http://www.merck.com…varivax_pi.pdf
- http://www.merck.com…mmr_ii_pi.pdf
- https://www.gsksource.com/…Pediarix/pdf/PEDIARIX.PDF
- http://www.merck.com/…pneumovax_pi.pdf
- http://www.merck.com…rotateq_pi.pdf
- http://www.fda.gov…Vaccines/ApprovedProducts/UCM112836.pdf
- http://www.ninds.nih.gov/disorders/encephalopathy/encephalopathy.htm
- https://www.nlm.nih.gov/medlineplus/ency/article/001415.htm
- http://www.fda.gov/downloads/BiologicsBloodVaccines…pdf
- http://www.merck.com…mmr_ii_pi.pdf
- http://www.wonder.cdc.gov
- https://vaers.hhs.gov/data/index
- http://www.nvic.org…cdc-changes-restrict-vaccine-reaction-reports.aspx
- http://www.epilepsy.com/learn/seizures-youth/can-children-die-epilepsy
- http://www.ajnr.org/content/21/10/1782.full
- www.epilepsy.com…symptoms-anxiety-and-depression-school-aged
- http://www.epilepsy.com…seizure-and-epilepsy-medicines/side-effects
- http://www.epilepsy.com…mood-and-behavior-101/obsessive-compulsive-disorder
- http://www.epilepsy.com/learn/impact/sleep-and-epilepsy