André Pratte, ex-journaliste de La Presse, aujourd'hui sénateur. On se demande encore comment il a réussi à obtenir un poste de sénateur , bref, on n'embarquera pas là-dedans, on fait ce qu'on peut, un service rendu est bien reçu, 150 000 $ annuellement, complet-veston et cravate Gucci.
Pratte a admis avoir reçu 13 invités dans son bureau de la tour d'ivoire, de la Power Corporation à titre de sénateur.
(Ben non, il n'y a jamais eu de conflits d'intérêts. Voyons, ça ne ressemble pas à Pratte, celui qui à sortie un article juste avant les élections intitulées, "trois bonnes raisons de voter libéral" il manquerait juste qui nous annoncerait qu'il se range du côté de Québec Solidaire avec son bon chum libéral, indépendantiste, le député de Rosemont Vincent Marissal.
Quand qu'on dit prendre les gens pour des valises, la signification, l'expression québécoise prend toute la place. Ça, c'est comme notre cher ami Vincent Marissal qui va voir le libéral avant de se présenter chez Québec Solidaire.
Pour ma part Pratte, c'est évident qu'il a obtenu ce poste pour de bons services rendus au parti libéral.
Je mets au défi La Presse, Le Soleil, Le Devoir, Radio-Canada de parler de Pratte. C'est là que l'on voit que les médias traditionnels ne sont plus comme avant, aujourd'hui ils vivent de désinformation.
Payez à même les poches des citoyens canadiens.